750 grammes
Tous nos blogs cuisine Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Martine bichonne son Menu
29 octobre 2010

Palourdes à la marinière

Une des dernières recettes de coquillages pour ces vacances ; les palourdes, cuisinées ici à l'identique des moules à la marinière.

Je pense qu'il est possible de décliner les palourdes avec les nombreuses recettes de moules ; à la crème, à la tomate, au roquefort, au basilic et puis et puis ... il y en a au moins une vingtaine !

Ces palourdes nous ont été offertes par notre cousin Jean Pierre qui va les pêcher, à marée basse par grande marée, mais en bateau pour rejoindre un banc de sable bien particulier et ensuite, selon le coefficient de marée, il faut se mettre à l'eau jusqu'à la taille (au moins) et explorer le sable à l'aide d'une sorte de râteau de sa fabrication et pendant deux à trois heures.

Nous étions bien invités à participer à la pêche mais avons décliné rien qu'à l'idée de la température de l'eau ..........par contre, nous avons accepté, avec plaisir, ces jolies palourdes fraîchement sorties de l'eau, merci Jean Pierre.


P1000721_1



Il faut toutefois immerger les palourdes pendant quelques heures dans de l'eau de mer si on en dispose ou alors dans de l'eau salée au gros sel tout simplement.

Pendant ce temps, les palourdes s'ouvrent légèrement et rejettent des impuretés et du sable qu'elles contiennent.


P1000723_1



Faire revenir, dans de la matière grasse, une belle échalote émincée puis ajouter un grand verre de vin blanc (ici du Picpoul de Pinet, vin de l'hérault) et faire fondre ainsi l'échalote jusqu'à ce qu'elle soit translucide, poivrer mais ne pas saler.


P1000728_1



Mettre à feu vif et jeter les palourdes qui vont de suite s'ouvrir, ajouter ail et persil, bien mélanger pour que toutes s'ouvrent et cuisent, le tout doit être fait en quelques minutes seulement, servir.


P1000729_1

Bonne dégustaion !

gif_palourde

 

Publicité
Publicité
22 octobre 2010

Petite réflexion ...

Hé oui, pas de recette cette semaine, pas d'envie de cuisiner à vrai dire car, je dois bien l'avouer, le moral, d'un coup d'un seul, m'est tombé dans les chaussettes !

J'en ai trop dit, faut que je vous explique pourquoi :

à force d'en entendre parler, j'ai fait une rapide addition et ce que je redoutais est arrivé ; je n'aurai sans doute pas de circonstances atténuantes, il me faudra me soumettre, ce sera la Loi  !

Oui, oui, j'ai commencé un peu sur le tard ma carrière de "blogueuse en cuisine" et voilà que ce n'est qu'une fois ma cent cinquième année révolue que je pourrai prendre ma retraite !!!!!!

gif_ha_ha_ha_ha

J'aime beaucoup vous raconter mes recettes (ou les vôtres aussi d'ailleurs ......) mais quand même, je me demande si je tiendrai le coup aussi longtemps ????

Alors, une fois le coup encaissé, je me suis dit que la première chose à faire était de prendre quelques jours de RTT, histoire de me mettre bien en forme pour attaquer les années à venir  avec courage et c'est ce que je fais actuellement dans le plus grand bonheur.

Exit les casseroles, les moules mous, la levure, la farine, le sel et le poivre et hourra pour la macédoine toute prête, le céleri rémoulade et autres salades composées bien grasses qui regorgent de sauce type mayo !!  faut se lâcher de temps en temps mais ça ne durera pas et heureusement mais nous profitons de ces derniers jours de si beau temps pour ramasser encore quelques bigorneaux et marcher le long des kilomètres de plage de sable fin qu'offre notre commune préférée, la commune de Santec, vous l'aurez compris !

Donc, encore un petit répit et je vous retrouve très vite pour de nouvelles aventures.

 

L'Eglise de Santec, jeudi 21 octobre 2010 à midi !

P1000971

gif_chou_fleur

16 octobre 2010

Bon w.e.


Vendredi 15 Octobre, c'est morte-eau sur la plage du Théven à Santec ;

   P1000792



et promenade sur la dune du Prat à Santec avec vue sur l'Ile de Batz et son phare.


   P1000754


 

 

15 octobre 2010

Rata briniques

Et c'est encore une recette avec des coquillages mais ceux ci sont vraiment plus courants.

On les appelle briniques, berniques, châpeaux chinois, patelles et j'en oublie ......

En breton, on dit "brennig".

Dans le midi on les appelle arapèdes.


P1000659_1


C'est un coquillage qui n'est pratiquement plus récolté pour être mangé car il est (lui aussi ...) un peu dur et caoutchouteux.

Aussi, faut-il récolter des briniques jeunes, ils sont plus tendres.

Il y a au moins 20 ans que je n'en avais pas fait mais ils ont été appréciés.

Il faut s'armer d'un "brinniquaer"  (je ne connais pas l'hortographe, c'est de la pure phonétique ..) qui est un outil avec un bout plat tranchant et qui sert à décoller le brinique qui est solidement "ventousé" au rocher.

La partie comestible de ce coquillage est justement le pied avec lequel il s'accroche.

trois_images


Notre récolte terminée, nous avons rincé les briniques puis les avons plongés juste une minute dans de l'eau bouillante, ce qui a eu pour effet de les décoller de leur coquille.

Il faut ensuite ne garder que les pieds que nous rincerons à nouveau.

trois_autres_images


Pour les attendrir, on peut les placer entre deux linges et les frapper de quelques coups de marteau mais nous ne l'avons pas fait car nos briniquess étaient jeunes donc moins coriaces.

Leur préparation ensuite est la même que pour tout ragoût, c'est à dire :

  • les faire revenir dans de la matière grasse avec des oignons,
  • asperger d'un peu de farine et faire dorer,
  • déglacer la cocotte avec de l'eau ou un peu de vin blanc
  • ajouter sel, poivre, thym, laurier, ail et persil .......

Faire cuire à l'autocuiseur pendant une vingtaine de minutes puis ouvrir et ajouter des carottes coupées en tronçons (ici des carottes de sable de Santec au goût incomparable), refermer pour cuire les carottes et on peut aussi ajouter ensuite des pommes de terre.

  quatre_images


Ici, ce "rata" est considéré comme étant le plat du pauvre et ne se cuisine plus et pourtant les briniques sont légion sur les rochers.

On peut les préparer des différentes manières ou même, après les avoir cuits à l'eau, les mettre dans du vinaigre avec des épices et les croquer à l'apéritif, il faut alors de petits spécimens !

  P1000367_1

 

gif_bernique

 

13 octobre 2010

Gaufres salées pdt et lardons

Selon une recette donnée sur un forum.

Ces petites gaufres salées peuvent faire la base d'un repas du soir avec une salade verte par exemple.

Je les ai réalisées avec mon gaufrier Frifri "à voir ici" qui est vraiment épatant mais n'importe quel gaufrier fera l'affaire bien sûr.

       Il faut :

  • 1 oeuf

    PIC_1479_1

  • 250 g de pommes de terre pesées râpées et égouttées
  • 50 g de farine
  • 125 ml de lait
  • 1 cuiller à soupe de beurre fondu
  • 100 g d'allumettes de lardons (fumés ou non)
  • 60 g de fromage râpé
  • sel, poivre, muscade

  • fines herbes si désiré ; persil ciselé ou ciboulette

Dans le bol du Thermomix (ou tout autre robot), mettre le fouet et battre l'oeuf pour qu'il blanchisse et double de volume ; pour le Thermomix, il faut programmer 1 mn30 à vit 4.

Bien presser les pommes de terre râpées dans vos mains pour qu'elles jettent toute leur eau.

Ajouter alors tous les autres ingrédients et mixer doucement pour que tous les ingrédients se mélangent correctement.

PIC_1482_1                               PIC_1485_1

          PIC_1496_1    PIC_1497_1


Mettre dans le gaufrier des petits tas de pâte et fermer, vérifier la cuisson.

            PIC_1498_1   PIC_1504_1


A l'aide d'un ciseau j'ai découpé proprement mes petites gaufres et je les ai présentées avec un trait de vinaigre de balsamique et un brin de romarin.

Vous pouvez faire parler votre imagination en remplaçant les lardons par des légumes séchés ou par du saumon pour accompagner une salade de la mer.


gif_gaufre

Publicité
Publicité
11 octobre 2010

Kouilhou quezeg

Mais, me direz-vous, mais qu'est ce que c'est ?

C'est un coquillage que l'on pêche en Bretagne (et ailleurs aussi).

Ici je l'ai appelé de son nom breton ; sachant que quezeg veut dire "cheval", je vous laisse deviner l'autre mot  :-)))

Son nom scientifique est "mye". Il se pêche ici, à Santec, à marée basse, par grande marée et dans un endroit bien particulier où il a élu domicile en compagnie de couteaux.

P1000682_1


Le pêcher demande tout de même un peu d'énergie : il faut arpenter le banc de sable dès qu'il est découvert,en tapant des pieds, pendant que la mer descend au plus bas puis l'accompagner dans le début de sa remontée ce qui fait environ deux heures.

Le kouilhou quezeg est enfoui dans le sable en profondeur, parfois plus de 50 cm.  De sa coquille enfouie, il monte jusqu'à la surface du sable un long tuyau appelé siphon et  rempli d'eau de mer. Lorsque l'on tape sur le sable avec les pieds, il expulse l'eau de son siphon et rétracte ce dernier ce qui fait que nous sommes parfois bien aspergés de cette eau qu'il renvoie brutalement. A nous à ce moment là de repérer l'endroit où l'eau est sortie et ensuite il faut creuser jusqu'à trouver le coquillage.

Il n'a pas forcément une trajectoire droite et il faut être vraiment un habitué de cette pêche pour sortir, à presque chaque fois, un kouilhou quezeg.

C'est un coquillage peu appétissant à préparer ; il est enrobé de plusieurs épaisseurs de peaux transparentes, gélatineuses et pleines de sable.

           PIC_0021_1         P1000686_1


Il est possible de le laisser dégorger pendant toute une nuit dans un seau d'eau de mer mais il ne faudra pas oublier le seau dans votre salon car, dans la nuit, le kouilhou quezeg va sortir son siphon puis le rétracter et recommencer sans cesse la manoeuvre, ce qui fait qu'au matin, vous trouverez une vraie mare autour de votre seau.

Dès que nous revenons de le pêcher je le cuis en le plongeant vivant dans une grande quantité d'eau bouillante, je laisse reprendre ébullition et je prolonge pendant juste quelques minutes si les kouilhou quezeg sont gros.

C'est une chair assez caoutchouteuse qui n'est pas appréciée de tous et le laisser cuire trop longtemps va le rendre encore plus ferme.

Égoutter ensuite et laisser refroidir.

Il faut ensuite, à l'aide d'un couteau, découper puis arracher toutes les peaux visqueuses et les jeter ainsi que l'appareil digestif. Il est facile de deviner ce qui est comestible au vu de la bête cuite. Ensuite, il est nécessaire, même si c'est sans doute lui enlever de son parfum; de bien le rincer à l'eau claire pour retirer les grains de sable encore présents.

           P1000692_1        PIC_0019_1


Autant le couteau peut se manger cru, sur place, autant je n'imagine pas qu'il soit possible de manger un kouilhou quezeg cru tant il est rempli de sable.

Une fois le coquillage bien propre, il ne reste plus qu'à le couper en petits petits morceaux, à  l'aide d'un ciseau puis de le cuisiner selon les goûts.

P1000702_1

         

      Voici quelques idées :

  • une bonne vinaigrette bien relevée avec moutarde, échalote et persil,
  • gratin avec béchamel et fromage râpé,
  • parmentier de kouilhou quezeg haché,
  • sauce tomate avec une pointe de piment, pourquoi pas !

Cette pêche est encore pratiquée par quelques "anciens", les nouvelles générations ne s'y intéressent pas et il est très probable que d'ici une vingtaine d'année elle tombera dans l'oubli et le kouilhou quezeg pourra couler des jours heureux à Santec en ne courant plus aucun danger. Ca nous rend un peu tristes mais c'est ainsi.

gif_mye

 

 

9 octobre 2010

Bon w.e.

P1000698


Plage de La Roche et bâteaux au Théven à Santec ce vendredi 8 Octobre2010.

Fait beau en Bretagne !

 

 

 

8 octobre 2010

Boeuf bourguignon

Une recette des plus traditionnelles mais qui remporte toujours un vif succès, que diriez-vous d'un bon boeuf bourguignon ?

Ces plats en sauce font toujours penser à une longue préparation ; il n'en est rien ; juste un peu de temps pour faire revenir les ingrédients, pour lier la sauce et hop c'est fini, ça cuit tout seul, ça peut se faire la veille (c'est même recommandé) et dans ce cas on ne finira la cuisson avec les pommes de terre que le jour du repas ; en fait un plat rempli de qualités et la meilleure d'entre elles étant encore son goût extra !!!

P1000216_1

       Pour quatre personnes :

 

  • 800 g de boeuf à bourguignon
  • huile ou margarine
  • 1 barquette de lardons
  • 1 bel oignon ou grosse échalote
  • de la farine
  • 1 bouteille d'un bon vin rouge
  • 1 gousse d'ail
  • persil, thym et laurier
  • sel fin et poivre du moulin
  • 500 g de champignons de Paris
  • 1 kg de pommes de terre



Dans un autocuiseur, faire chauffer de la matière grasse et y faire revenir les morceaux de boeuf parés, les retourner pour bien les faire dorer de toutes parts.

Ajouter ensuite les lardons et les oignons émincés et faire dorer le tout à nouveau.

Jeter deux cuillers à soupe de farine puis, avec une cuiller en bois, tourner la viande pour bien l'enrober de farine et faire dorer à petit feu. Attention à ne pas laisser brûler !

Après quelques minutes, verser la bouteille de vin rouge (ici du Cabrières 2006 du Prieuré de Saint Martin des Crozes) que l'on aura fait auparavant chauffer dans une casserole. Il ne faut pas négliger la qualité du vin utilisé qui se retrouvera dans les parfums de votre bourguignon. Bien déglacer les sucs de la viande au fond de la casserole.

On doit obtenir une sauce onctueuse, ni liquide ni trop épaisse.

Ajouter alors le sel, le poivre, deux feuilles de laurier, du thym, une gousse d'ail émincée, quelques brins de persil

 Fermer votre autocuiseur laisser cuire environ 30 mn à partir du chuchotement de la soupape ; je précise bien "chuchotement" car il faut que la cuisson se fasse lentement pour éviter que la viande n'attache.

trois_images_boeuf


Pendant ce temps, nettoyer et éplucher les champignons ; quand ils sont bien frais je ne les lave pas, je coupe simplement le pied et je retire la peau du chapeau.

Les émincer et les faire cuire à la poêle dans un peu de matière grasse.

Les faire légèrement dorer, saler, poivrer puis un peu d'ail émincé et de persil ciselé.

Réserver.

trois_photos_champignons


Epucher les pommes de terre et les couper en deux ou quatre selon leur grosseur.

Environ 15 à 20 mn avant la fin de la cuisson de la viande, ouvrir l'autocuiseur et y répartir les pommes de terre.

Saler et poivrer à votre goût.

Refermer l'autocuiseur et remettre à cuire le temps nécessaire pour les pommes de terre.

Ouvrir à nouveau l'autocuiseur et y verser les champignons réservés, faire réchauffer l'ensemble pendant quelques minutes.

trois_photos_fin


Servir avec un brin de persil pour faire joli !

Faites le et dites moi ce que vous en avez pensé ??

Je précise à nouveau qu'il est fortement recommandé d'utiliser un vin rouge de bonne qualité, votre sauce n'en sera que meilleure.

D'autre part, le boeuf bourguignon peut très bien se préparer sans lardons ni champignons mais ils apportent un petit plus bien agréable.

 

P1000256_1

 

Régalez-vous !!!!

gif_boeuf_bourguignon

 

6 octobre 2010

Meringues inratables

Selon Nadine de Nuage de Farine.

Oui, oui, elles portent bien leur nom, elles sont inratables ces meringues.

Je précise tout d'abord que je décline toute responsabilité en cas d'addiction sévère suite à la réalisation de cette recette .....

Les meringues sont faites avec du blanc d'oeuf et du sucre ; il est  dit que le blanc d'oeuf peut se conserver jusqu'à un mois dans un récipient bien fermé et au réfrigérateur (il doit être ensuite utilisé dans une préparation cuite uniquement). Il peut aussi se congeler.

Je les congèle au fur et à mesure de leur disponibilité et j'en fais des meringues quand j'en ai trois ou quatre, je ne vois donc pas l'utilité de les conserver crus au réfrigérateur, l'oeuf étant un produit délicat je préfère congeler immédiatement.

On peut aussi en faire des gâteaux ou des macarons ou aussi des amarettis mais ce sera une autre histoire ....

Je suis équipée d'une poche à douilles et de douilles mais on peut très bien faire des meringues en se servant d'un sac de congélation dont on coupe un coin et qui remplacera ainsi la poche à douille.

Je n'utilise pas le Thermomix pour monter mes blancs en neige, je ne le trouve pas performant dans cette discipline.

J'utilise mon robot Kenwood km 266 qui est un collaborateur efficace et rapide.

PIC_1592_1

 

 

  • Il faut peser les blancs puis prendre
  • le même poids de sucre semoule et
  • le même poids de sucre glace





PIC_1599_1

 

Dans le bol du robot, verser les blancs et la moitié
du sucre semoule et les monter progressivement
en neige pendant environ 5 mn.

Quand ils sont fermes et tout en continuant à battre
pendant 3 mn, verser l'autre moitié du sucre.

Baisser la vitesse du fouet et ajouter le sucre glace
en pluie.

 

 

trois_images


A ce moment, il est possible d'incorporer un colorant ; ici j'ai mis la couleur rouge (un peu trop rouge d'ailleurs) mais nous avons trouvé que les meringues étaient meilleures sans colorant, je ne le referai donc plus.

La meringue doit être solide et brillante et faire le bec d'oiseau comme sur la photo.

trois_photos


Mettre cette préparation dans votre poche à douille avec la douille de votre choix et façonner les formes que vous désirez selon votre imagination.

trois_photos_fouillr


Faire cuire au four à 90° pendant deux heures pour les petites meringues et doubler pour les grosses.

On peut aussi cuire avec la porte légèrement entrouverte afin de laisser l'humidité s'échapper et rendre les meringues bien croquantes.

Autant de pâtissières, autant de fours et donc autant de temps de cuisson qui peuvent légèrement différer.

Il est peut-être bon de faire un premier essai avec juste un blanc ou deux afin de trouver ses propres réglages.

Mon four a une position "cuisson des meringues" et ça marche fort bien je dois le reconnaître.

Par contre, j'ai, de temps en temps, des meringues qui se craquellent ; je ne sais pas du tout de quoi cela vient et, si vous pouvez m'éclairer, j'en serais heureuse.

Malgré ces craquelures, elles sont délicieuses et très appréciées.

La meringue se conserve bien mais je n'ai jamais l'occasion de les garder bien longtemps tant on les aime.

deux_images_fin

 

gif_d_oeufs

 

4 octobre 2010

Chou farci

Selon ma Maman,

Excellent plat complet comportant légume vert, féculent et viande.

Il faut choisir un chou vert frisé avec un coeur bien plein et bien ferme, les feuilles vertes extérieures seront jetées.


P1000164_1

  • 1 chou vert frisé
  • 500 g de farce à légumes ou de chair à saucisse
  • une belle gousse d'ail
  • persil
  • 2 à 3 biscottes émiettées et trempées dans du lait
  • 2 oeufs
  • sel fin (attention si la viande est déjà salée)
    et poivre du moulin

 

P1000167_1




Détacher les feuilles du chou, en retirer

les grosses côtes blanches et laver soigneusement.

 





P1000168_1



Dans un saladier, mélanger la viande, les biscottes imprégnées

de lait, les oeufs et les épices.

 

 

Faire chauffer une grande quantité d'eau salée.

Lorsqu'elle arrive à ébullition y plonger les feuilles de chou et reporter à ébullition pendant environ 5 mn.

Égoutter rapidement tout en réservant un saladier d'eau de cuisson.

Déposer dans le fond d'une cocotte la moitié du chou cuit puis la viande et recouvrir du reste de chou cuit, poivrer.

Verser le bouillon réservé jusqu'à tout juste couvrir le chou.

trois_photos


Faire cuire à petits petits bouillons pendant une petite heure.

Si on sésire faire un plat complet, il est possible, une demi-heure avant la fin de la cuisson de glisser sur le pourtour de la cocotte des pommes de terre coupées en deux ; elles cuiront en s'imprégnant du goût du chou, c'est bon ....

trois_images_fin


C'est tout, c'est simple, c'est traditionnel, de saison et vous le referez deux ou trois fois au cours de l'hiver.

P1000179_1

gif_chou

 

 

2 octobre 2010

Bon w.e.


Pas de fleurs du jardin pour ce dimanche mais une vue de la plage du Théven

à Santec, à marée basse, c'est beau, très beau !




P1000182

 

et puis une Maman crabe protégeant son petit ou alors un crabe

s'apprêtant à dévorer un congénère,


c'est selon !


P1000208

 

Excellent w.e.

 

 

 

1 octobre 2010

Velouté potiron et carottes

Selon Cpanpan.

Il fait plus frais, c'est le moment de préparer un bon velouté pour ce soir et le potiron est juste à point pour nous régaler.

P1000127_1


J'utilise le Thermomix qui fait effectivement des veloutés inégalés mais on peut tout à fait utiliser casserole et robot classique.

 

P1000134_1

       Pour faire environ 2 litres de velouté, il faut :

  • 500 g de chair de potiron
  • 2 à 3 belles carottes
  • 1 bel oignon ou échalote
  • 1 gousse d'ail
  • un bouillon de poule dégraissé
  • thym, sel fin (tès peu) et poivre du moulin



P1000136_1

 



Couper grossièrement les légumes et les mettre
dans le bol du Thermomix avec tous les
autres ingrédients.



 

 

 

P1000138_1

 
Mixer le tout pendant 5 sec à vit 5, ainsi les légumes
cuiront plus vite.

Rabattre à l'aide d'une spatule.

 

Ajouter 4 gobelets d'eau.

 

Programmer 25 mn 100° à vit.1.

P1000140_1


A l'arrêt de la minuterie, mixer pendant 1 mn à vit 6
puis 1 mn à vit 10.


Compléter avec de l'eau jusqu'à obtenir la consistance désirée.


Encore un velouté Thermomix que l'on n'oublie pas !

 

P1000143_1

    gif_potiron


Publicité
Publicité
Publicité
Newsletter
Martine bichonne son Menu
Derniers commentaires
Publicité