Au dernier moment, pour faire ou se faire plaisir, quelques petits chocolats si gourmands !

Rien à faire ou presque et un vrai délice, vous pouvez me croire …. c’est tout au choix, selon nos envies ou nos provisions dans les placards, tout va avec tout … - du chocolat noir,                du chocolat au lait,                               du chocolat blanc ….
- et pour garnir :         amandes entières, amandes effilées, noisettes,              dattes, raisins secs blonds, raisins secs bruns,                    pistaches (sans sel), noix, écorces d’orange                          confite, écorces de citron confit, tous                                autres fruits confits, noix de coco,                                        tous autres fruits secs …
La mise en oeuvre est on ne peut plus simple ; il suffit de faire fondre (bien surveiller quand même …) le chocolat au bain marie ou au micro-ondes et puis d’en poser des ronds à l’aide d’une petite cuiller sur une feuille de cuisson par exemple.
De suite, ajouter les fruits secs à votre convenance et c’est tout ! Mettre à refroidir dans une pièce non chauffée, environ 17° c’est le mieux.

Si l’on a fait des bonbons de chocolat pour Noël, le reste du chocolat tempéré trouvera ici sa destination. Sur une plaque silicone pour macarons on obtiendra des ronds bien formés mais ce n’est pas vraiment indispensable !

                 Ne reste qu’à se régaler !


 

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C’est une recette de mon amie Simone, hum, c’est bon …. le goût du miel est vraiment présent, c’est très sucré, il ne faut pas en abuser mais de temps en temps il faut se faire plaisir !

250 g de miel    100 g de lait chaud    100 g de beurre fondu    200 g de farine T45    1 sachet de levure chimique    50 g de cassonade    1 œuf    noix de muscade râpée    2 à 3 brins d’orange confite    1 pincée de sel fin

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot), verser tous les ingrédients et mélanger à l’aide de la feuille pendant 1 mn en vit 2  (si le miel est trop solide, le diluer auparavant dans le lait chaud).

Couler cette pâte dans le moule choisi et enfourner pour 30 à 35mn dans un four préchauffé à 180°C (position “gâteaux”).




     

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Un coup de feu claque dans le ciel et voilà qu’un canard tombe, raide mort, sur mon évier !






J’avoue quelques instants de perplexité avant de me décider à plumer l’animal … la petite bête n’avait rien demandé, elle volait juste au dessus des rizières de Camargue et voici que nous la tuons dans un combat peu loyal … nous qui rêvons depuis toujours de voler …

C’est vrai, acheter une entrecôte chez le boucher ne fait pas du tout le même effet et heureusement d’ailleurs ; il est assez rare de devoir dépecer un boeuf dans sa cuisine … 

Mes états d’âme mis de côté, j’ai évité les grands gestes et les plumes n’ont pas volé trop loin de moi …  en fait, c’est plus facile que je ne le redoutais, il faut juste un peu de temps.

Ensuite il faut bien évidemment le vider et puis faire griller le tout petit duvet soit sur la flamme du gaz soit avec un chalumeau de cuisine.

Comment le faire cuire ? là était bien la question ! surtout éviter que la viande soit sèche ! j’ai fait dans la plus grande simplicité et ce fut un vrai régal. A présent, dès que j’entends un coup de feu je cours vérifier mon évier ….

Une fois le canard bien plumé, vidé et flambé, je l’ai fait revenir de toutes parts, dans une cocotte en fonte avec très peu de matière grasse.

Je l’ai salé, poivré, ai fermé le couvercle puis enfourné en position basse température 85° pour 2 heures. Ensuite j’ai reprogrammé à 95 ° pour 1 heure.

Il a jeté un peu de graisse ; il faut vider le surplus puis ajouter le jus d’une orange fraîchement pressée en déglaçant les sucs du fond de la cocotte.

Il ne restait qu’à découper le canard. Il n’a pas pour réputation d’être généreux en viande ; effectivement, nous avons mangé le canard à deux, c’était parfait !

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Eh bien cette fois j'en ai la preuve, les objets ont bien une vie !

Figurez-vous que mon moule à Kouglof (neuf, jamais servi en 2 ans ...) m'a interpelée l'autre jour pour m'expliquer que son cousin qui vit chez Christalie, même s’il ne sert par chaque semaine, sort tout de même du placard de temps en temps !

J'ai argumenté bien sûr ; pas le temps, moins de gourmands ici à régaler que chez Christalie etc ...  rien n'y a fait, ce fut au final un ultimatum : où il passait au four rapidement ou il menaçait de retourner à l'est, son pays d'origine ! 

J'y suis attachée à ces petits objets alors impossible pour moi de le laisser ainsi me quitter, je l'ai donc garni et mis au four dans les vingt quatre heures, il était content et nous aussi d'ailleurs ... j'ai promis de ne plus jamais l'oublier aussi longtemps !

Et voici la recette de Christalie 

90 g de raisins secs 1 à 2 cuillers à soupe de Rhum  7 g de levure sèche  300 g de farine   60 g de sucre semoule  4 gros oeufs 70 g de lait demi-écrémé 3 g de sel fin 150 g de beurre 50 g d'amandes entières avec la peau Sucre glace

Rincer les raisins secs puis les couvrir juste d’eau tiède et ajouter une à deux cuillers à soupe de Rhum.

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot), mélanger la levure sèche, la farine et le sucre. Ajouter les oeufs puis le lait tiédi et le sel fin.

Installer le crochet et pétrir pendant 10 mn à vit 2. Laisser reposer pendant 10 mn.

Ajouter alors le beurre mou en petits morceaux et pétrir à nouveau pendant 10 mn à vit 2.

Egoutter et sécher les raisins secs, les verser dans la préparation et pétrir 1 mn à vit 1 juste pour les incorporer à la pâte qui est très très molle.

Couvrir le bol d’un linge et laisser lever à température ambiante pendant une heure puis mettre le bol au frigo pour 1 h 30 mn afin de rafermir la pâte.

A l’issue de ce temps, beurrer le moule à kouglof et y installer les amandes dans les rainures puis répartir la pâte dans le moule. Couvrir d’un linge et laisser pousser jusqu’à ce que la pâte arrive presque en haut du moule, soit environ 1 h 30 mn.

Faire préchauffer le four à 180° et enfourner pour 45 mn (baisser à 170° si le dessus se colore trop vite), vérifier la bonne cuisson à l’aide d’une lame de couteau.

Démouler et laisser bien refroidir sur une grille avant de saupoudrer de sucre glace et de déguster …….

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On les appelle “gambas” mais ce sont en fait des crevettes, les gambas sont bien plus grosses (2 à 3 seulement par kilo) alors qu’ici j’ai choisi un calibre 16/20 (nombre de bêtes au kilo).

Elles sont bien meilleures fraîchement pêchées mais je n’ai sous la main que des crevettes congelées. Il faut les laisser décongeler tranquillement et ne pas les faire cuire trop rapidement (contrairement à ce qui est souvent conseillé) afin que leur chair ne durcisse pas.

Pour nous une véritable gourmandise, rien à ajouter !

Pour 2 personnes : - 10 gambas calibre 16/20 - 2 jolies échalotes - 1 pointe de piment de Cayenne - feuilles de thym - 1 belle gousse d’ail - 40  g de Cognac - curry en poudre - crème fraîche - sel fin et poivre du moulin

 
Une fois les crevettes décongelées, les rincer très rapidement puis bien les sécher.






Faire chauffer une belle noix de beurre dans une poêle et y faire fondre les échalotes finement ciselées sans les laisser colorer.

Déposer les crevettes (donc à feu moyen plus) et les laisser cuire 5 à 6 minutes en les retournant à mi-cuisson. Saler, poivrer, ajouter la pointe de piment, le thym et l’ail écrasé. Bien mélanger.

Faire chauffer le Cognac (dans un verre au m.o. par exemple) et le verser rapidement dans la poêle.

Le faire flamber après avoir pris soin d’arrêter la hotte !

   

Saupoudrer de curry, ajouter la crème fraîche et laisser épaissir environ 1 minute.

Servir de suite dans des assiettes chaudes de préférence.

Hum, que c’est bon ……………




 

                                                 
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Recette principalement destinées aux utilisateurs du four Whirlpool en fonction crisp. C’est étonnamment pratique, avec juste un rien de matière grasse, un temps de préparation réduit de chez réduit et enfin, c’est vraiment très bon !

Pour 2 jolies assiettes : - 2 cuisses de poulet - 4 à 6 pdt moyennes - 1 courgette moyenne - pulvérisations d’huile d’olive - origan séché - sel fin et poivre du moulin

Retirer la peau des cuisses de poulet. Eplucher les pommes de terre et les couper en carrés (pas trop fins) réguliers. Laver la courgette, la couper en 4 dans le sens de la longueur, retirer les graines et la découper en petits morceaux.

Couper une feuille de papier cuisson et en garnir l’intérieur du plat spécial crisp de 31 cm de diamètre. Déposer au centre les cuisses de poulet puis autour les pommes de terre. Pulvériser un peu d’huile d’olive, saler, poivrer et saupoudrer d’origan séché. Enfourner en position crisp pour 10 mn.

Sortir le plat, retourner les cuisses de poulet, ajouter les cubes de courgette et les mélanger aux pommes de terre, remettre au four crisp pour 10 mn.

Sortir le plat, retourner les cuisses de poulet, retourner les légumes, rectifier l’assaisonnement si nécessaire et remettre au four crisp pour 10 mn (les temps de cuisson sont à adapter à la grosseur des cuisses de poulet et des cubes de légumes ; on prend vite l’habitude).

A table, c’est déjà prêt ….








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Je dois à mon amie Simone l’idée de faire une confiture de banane, c’est à mettre à profit lorsque les bananes sont particulièrement abordables 

Depuis toujours je fais mes confitures avec “Vitpris”. L’utilisation de “Confisuc” donnera le même résultat, suivre alors le mode d’emploi du paquet. Dans la recette que j’ai choisie, il y a ajout de jus d’orange, ce qui donne une consistance bien onctueuse.

Pour 6 à 8 pots : - environ 1,200 kg de bananes   (pour obtenir 800 g de banales pelées) - environ 4 oranges   (pour obtenir 400 ml de jus) - le zeste d’1 orange - 1 citron - 200 ml d’eau - 1,200 kg de sucre - 1 sachet de Vitpris

Presser les oranges pour obtenir 400 ml de jus (fait avec l’accessoire du Kitchenaid).  Presser le citron.

Zester l’orange. Peler les bananes et les couper en dés pour obtenir 800 g.

Dans un grand récipient, verser les bananes puis le jus de citron. Ajouter le jus d’orange, les zestes et 200 ml d’eau. Porter à ébullition et faire cuire doucement pendant 10 mn tout en remuant régulièrement (utiliser une cuiller à bout plat pour bien racler le fond de la casserole).

Simultanément, peser 1,2 kg de sucre (cristallisé par exemple). En prélever 2 cuillers à soupe que l’on mélange, dans un petit bol, à un sachet de Vitpris.

Une fois la première cuisson terminée, saupoudrer le mélange ci-dessus sur le fruits et ramener à ébullition. Faire cuire à gros bouillons pendant 3 mn en remuant soigneusement et continuellement.

Ajouter alors le reste du sucre, ramener à ébullition toujours en remuant constamment et maintenir à gros bouillons pendant 3 mn.

Arrêter la cuisson et remplir immédiatement les pots (soigneusement lavés et séchés au préalable). Attention à ne pas se brûler, utiliser un entonnoir et une louche par exemple.

Fermer les pots au fur et à mesure, les retourner pendant 10 mn puis les remettre à l’endroit et laisser refroidir avant de conserver dans un endroit sombre, frais, sec et bien aéré.

La confiture est définitivement prise au bout de quelques jours. A consommer de suite avec ou sans modération !

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J’ai coutume de l’appeler “pizza alsacienne”, 'c’est un régal très vite réalisé et avec quelques feuilles de verdure, hum …. j’utilise le moins possible de pâte et l’étire jusqu’à la transparence.

Pour 2 jolies flammekueches : - 220 g de pâte à pizza   (2 pâtons de 110 g - recette Ici) - 150 g de crème fraîche - 10 g de farine - 200 g de lardons fumés - 3 à 4 gros oignons

Dans une poêle, sans MG, faire revenir les lardons et les laisser doucement cuire pendant une petite dizaine de minutes, réserver.

Sans laver la poêle, y jeter les oignons finement émincés, les faire revenir sans trop de coloration puis cuire aussi doucement jusqu’à ce qu’ils deviennent transparents.

Dans un bol, mélanger la crème fraîche et la farine à l’aide d’un fouet à main.

Etaler le plus finement possible les pâtons et les installer dans les plats de cuisson. Couler le mélange crème/farine puis répartir les oignons et les lardons cuits.

Enfourner de suite dans un four préchauffé à 240° pour 5 à 6 mn (à adapter selon les fours).



                                        Vraiment excellent !

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Nous aimons le gratin de quinoa aux courgettes (ici) mais là je n’avais que des carottes !!!  alors, un petit tour sur le net et j’ai adapté au Thermomix.

Le quinoa est très digeste, sans gluten, riche en protéines, on le trouve dans certaines grandes surfaces ou en magasin bio où il est vendu au détail.

- 1 oignon - 5 à 6 carottes moyennes   (350 à 400 g pesées épluchées) - 200 g de quinoa - 400 g de bouillon de volaille   (recette maison ICI – ou cube) - thym - persil ciselé - sel fin et poivre du moulin

Eplucher l’oignon et les carottes ; les couper en tronçons. Rincer les graines de quinoa.

Dans le bol du Thermomix, mixer l’oignon pendant 5 sec. à vit 5, rabattre à l’aide de la spatule. Ajouter une belle cuiller d’huile d’olive et programmer 5 mn 100° à vit. 1.

A l’arrêt de la minuterie, ajouter les tronçons de carottes et mixer pendant 7 sec à vit 5.

Rabattre la préparation, verser le thym, saler, poivrer puis ajouter le quinoa rincé et le bouillon de volaille. Programmer 23 mn FSI 100° à vit 2,5.

A l’arrêt de la minuterie, vérifier la bonne cuisson, rectifier l’assaisonnement et laisser gonfler quelques minutes dans le bol avant de servir avec quelques pluches de persil ciselé.

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