C’est la pleine saison, on les trouve sur les étales ou sous les châtaigniers, ce qui est encore bien mieux !

Quelques kilos m’ont été gentiment offerts alors mon emploi du temps était tout tracé

Mon expérience de l’an passé avec un épluchage tout à fait traditionnel m’avait laissé le souvenir d’un travail pénible et fastidieux alors, cette année, j’ai commencé par tester un “truc” relevé depuis déjà un moment.

C’est super car les deux peaux viennent en même temps, enfin … pas à chaque fois mais, dans l’ensemble, ça va assez bien quand même.

Evidemment, il ne faut pas être opposé à l’utilisation du micro-ondes ! après deux ou trois essais j’ai trouvé ma vitesse de croisière  

Pour un kilo de châtaignes par exemple, on acceptera de se brûler un peu les doigts mais pour une plus grande quantité, je vous conseille l’utilisation de gants en latex (j’ai même fini par mettre des pansements sous les gants tant mes doigts étaient douloureux, suis sensible moi !).

Alors, au travail !

Il faut commencer par laver les châtaignes rapidement.

Ensuite, à l’aide d’un couteau pointu, inciser la partie plate en forme de croix, juste pour fendre la peau, surtout pas en profondeur.

Les mettre dans un plat adapté à la cuisson au m.o., couvrir et enfourner pour 1 mn à 1 mn 30 (selon la grosseur) à puissance maxi.

Les éplucher alors immédiatement.

châtaigne incisée.

3 sur un plat

couvrir

après 1 mn à 1 mn 30

prêtes pour l’épluchage !

quand les deux peaux viennent en même temps !

Il est tentant de mettre une dizaine de châtaignes en même temps ; erreur ! le meilleur tempo a été de les mettre trois par trois avec un roulement de deux plats. Ainsi, on peut en éplucher trois pendant que les trois suivantes sont enfournées etc … car, si elle refroidissent, la deuxième peau ne viendra pas facilement.

C’est juste une question d’organisation et ensuite ça roule ! Il y aura les châtaignes qui sortiront impeccables et puis celles qui vont un peu s’émietter. Les plus jolies accompagneront magnifiquement une viande alors que les brisées seront mises en

Crème de marrons que je vous conseille vivement et qui est à tomber, on peut la réaliser sans Thermomix bien sûr.

Cette méthode est à mon sens plus rapide et plus simple mais c’est tout de même un certain travail ! par contre, quelle satisfaction quand c’est fini !!!

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Faute de faire une belle pêche comme la mienne, vous trouverez des palourdes chez le poissonnier 

J’ai voulu faire honneur au Pays Léonard et tout particulièrement au petit village de Santec d’où viennent les produits qui composent cette assiette : le fond d’artichaut, les carottes de sable, les palourdes pêchées dans le port du Théven à marée basse …tout un réjouissant programme !

C’est vraiment fameux avec cette petite sauce, idée donnée par mon amie Simone qui cuisine ainsi les tellines.

Une fois la pêche terminée on ramènera les coquillages dans un seau d’eau de mer où ils passeront la nuit dans un endroit frais afin qu’ils rejettent leurs impuretés.

Au moment de les cuisiner, les rincer abondamment et certaines seront brossées si besoin est.

Ensuite, cuire les palourdes tout simplement en les déposant dans une casserole déjà chaude où elles vont vite s’ouvrir (remuer constamment), c’est très vite fait. On égoutte et après refroidissement on retire une coquille sur deux.

Pour réaliser la sauce, rien de plus simple : dans un bol mettre généreusement de la crème fraîche liquide entière, saler, poivrer puis ajouter de la moutarde, du persil finement ciselé et de l’ail émincé.

Bien remuer le tout et verser sur les coquillages.

Mélanger délicatement et réfrigérer pour une nuit, le lendemain c’est encore meilleur !

Ensuite, on présente comme on veut avec ce qu’on veut et on se régale … en rêvant aux prochaines pêches …

Il est encore temps d’en profiter …

les dernières tomates de saison, les dernières pêches ou nectarines, les dernières figues et les dernières belles journées peut-être avant  

Petite entrée vite faite, sans prétention aucune mais néanmoins savoureuse !

- tomates
- figues fraîches
- nectarines
- mozzarella
- persil
- olives noires
- oignon ou échalote

Pas de quantités précises par aliment, ce sera selon les goûts de chacun(e).

Laver et sécher les tomates, les figues et les nectarines puis les couper en fines rondelles.

Éplucher puis couper les rondelles les plus fines dans l’échalote.

Couper également la mozzarella en fines tranches.

Laver, sécher et ciseler finement le persil.

Faire une vinaigrette un peu relevée par du vinaigre de Xérès par exemple.

Dresser le tout dans les assiettes en alternant tomates / figues / nectarines / mozzarella, arroser de vinaigrette, parsemer de persil, ajouter quelques olives noires puis les rondelles d’échalote.

Servir bien frais avec une tranche de pain de campagne.

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C’est déjà la saison des pommes et voici ma dernière acquisition : un moule à tarte tatin (diamètre = 25 cm) que je n’ai pas tardé à étrenner ! Il est pratique puisque compatible avec tous types de cuisson, on y fait donc directement le caramel ainsi que la cuisson des pommes.

J’ai utilisé une pâte feuilletée mais on peut également faire cette tarte tatin avec une pâte brisée ou même une pâte sablée !


Pas de moule spécial tatin ?  faire alors le caramel dans une casserole avant de le verser dans un moule à manqué. Déposer les pommes et les faire cuire au four avant de couvrir avec la pâte.

Nous nous sommes régalés, vraiment ! la pâte feuilletée maison est toujours aussi délicieuse et apporte le côté croustillant alors que les pommes sont fondantes.

Peler  et évider les pommes, les couper en quatre et les arroser de jus de citron afin qu’elles ne noircissent pas.

Dans le moule à tatin, verser le sucre et le beurre, remuer doucement pour bien mélanger puis, laisser le caramel se faire, à petit feu.

Une fois la jolie couleur du caramel blond obtenue, déposer les quartiers de pommes bien serrés, côté bombé dessous et laisser cuire à petit feu pendant environ 35 mn.

Pendant ce temps, étaler la pâte et y découper un rond d’un diamètre supérieur à celui du moule (il faudra pouvoir glisser un bord tout autour), la piquer et la conserver au réfrigérateur (je la roule dans le feuille roulpat).

Enfourner pour 20 à 30 mn dans le four préchauffé puis laisser refroidir 20 mn avant de démouler la tarte.

Elle se déguste tiède, accompagnée d’une boule de glace vanille ou d’une quenelle de crème fouettée, mais ce n’est toutefois pas indispensable.

Légume vert plus féculent, c’est parfait !Les fines tranches de lard et le fromage râpé complèteront pour en faire un plat complet savoureux.Facile à réaliser, peut aisément se réchauffer, tout pour nous plaire

Je n’indique pas de quantités précises, elles sont à moduler selon nos envies.

Laver et éplucher l’oignon et le brocoli que l’on détaillera en petits bouquets.

Faire cuire le brocoli soit dans une grande quantité d’eau salée soit à la vapeur, égoutter.

Faire cuire les tagliatelles selon les instructions du paquet, bien égoutter et couler un filet d’huile, mélanger pour que les pâtes ne collent pas.

Dans une poêle, avec l’huile d’olive, faire fondre l’oignon émincé jusqu’à la transparence.

Regrouper l’oignon dans un coin de la poêle puis faire revenir les tranches de lard fumé pendant quelques minutes.

Dans un plat à gratin (j’ai utilisé une poêle à manche amovible pour tout faire), déposer les tagliatelles, répartir le mélange oignon/lard fumé puis les bouquets de brocoli.

Saupoudrer de fromage râpé et enfourner dans un four préchauffé à 180° juste pour faire gratiner le fromage et réchauffer l’ensemble.

Servir accompagné d’une tranche de rôti et de jus de viande par exemple …

Très étonnée, j’ai vérifié deux fois ; hé oui, je n’ai jamais proposé ici cette salade de foies de volaille, spécialité de la ville de Lyon, capitale de la gastronomie, une très jolie ville à visiter si vous en avez l’occasion.

 

Elle se servira en entrée ou en plat principal, c’est selon les circonstances et les appétits 

Il faut aimer le foie évidemment et, surtout, bien prendre le temps de parer les petits foies en retirant soigneusement la poche de fiel et les veines qui seront très désagréables en bouche (écarter les deux lobes et retirer les veines au maximum).

Laver, sécher, couper la tomate en quartiers. Laver la salade. Découper le pain en petits cubes.

Sur les assiettes, dresser la salade, les quartiers de tomate en réservant de la place au milieu de l’assiette pour les foies de volaille.

Au dernier moment, faire dorer le pain dans une poêle avec un peu d’huile.

Parallèlement, faire revenir rapidement les foies de volaille dans une autre poêle avec aussi un peu de matière grasse ; le faire sur feu vif et peu de temps, ils doivent être rosés à l’intérieur. Saler et poivrer.

Répartir les foies de volaille sur les assiettes, déglacer la poêle avec un peu de vinaigre de Xérès, arroser les foies avec ce jus.

Disperser les cubes de pain grillé et les pignons de pin puis verser sur la salade une cuiller de vinaigrette réalisée avec du vinaigre de Xérès et de l’huile de noix.

Servir sans tarder !

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Nous sommes très gourmands de petits biscuits sablés mais je les achète souvent dans le commerce !

Pourtant je me lance parfois à l’assaut de la presse à biscuits et ce n’est pas toujours réussi hélas … la pâte idéale n’est pas plus évidente à trouver que la presse idéale 

La presse classique Mercato est bien rangée au fond d’un placard ; malgré de nombreux essais je ne réussis jamais bien alors je n’insiste plus.

Et puis j’ai trouvé à Carrefour et pour quelques euros, une presse en plastique cette fois ; j’ai tenté et je reconnais que si ce n’est pas parfait c’est déjà plus facile à utiliser et surtout à réussir ! Il y a un grand nombre de formes ; certaines marchent bien et d’autres ne fonctionnent pas sans que l’on puisse expliquer pourquoi mais bon, l’essentiel est de réussir trois ou quatre formes de biscuits.

Pour 60 à 70 biscuits : - 250 g de farine T45 - 180 g de beurre à température - 100 g de sucre semoule - 1 gros jaune d’oeuf - 1 cuiller à café d’arôme vanille - 1 pincée de sel fin

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot pâtissier), verser le sucre, le sel, l’arôme vanille et le beurre en petits morceaux puis mélanger pendant 1 mn à vit. 1 à l’aide de la feuille (fouet plat triangulaire). Rabattre à la spatule si nécessaire.

Ajouter alors le jaune d’oeuf et mélanger à nouveau pendant 1 mn à vit. 1.

Verser la farine et mélanger toujours à vit. 1 jusqu’à ce que la boule de pâte soit  formée.

Rassembler la pâte en boule, filmer et mettre au réfrigérateur pour une vingtaine de minutes.

Découper la pâte en boudins pour les insérer dans la presse ; croiser les doigts pour que ça fonctionne et vous lancer dans l’aventure ; il faut apparemment poser fermement la presse sur la feuille silicone puis actionner la poignée pour pousser la pâte avant de relever la presse. En fait, il faut se faire sa propre expérience mais je trouve que ce n’est pas évident ! dommage parce que c’est “vraiment tellement si bon” …

Un peu avant la fin des "hostilités", faire préchauffer le four à 180° position “gâteaux”.

Saupoudrer les biscuits d’un peu de sucre semoule et enfourner pour 9 mn (surveiller selon le four).

À la sortie du four les déposer sur une grille jusqu’à complet refroidissement.

Je les range toujours dans une boîte en fer où ils sont sensés bien se conserver mais je n’ai jamais eu l’occasion de vérifier tant ils sont vite dévorés …

Petite sauce destinée à accompagner principalement les moules ou les viandes blanches.

Mes explications sont un peu longues ….  si vous me suivez régulièrement, vous avez sans doute remarqué que je ne sais pas faire court et puis et surtout, je me rappelle mes débuts et toutes ces questions que je me posais, j’espère ainsi apporter un peu d’aide à ceux ou celles qui débutent   

Pour 4 portions de sauce :

– 40 g de beurre
– 1 belle échalote
– 25 g de farine
– 250 g de jus de cuisson
– 100 g de crème fraîche
– 2 jaunes d’oeuf
– jus de citron
– sel fin (ou pas) et poivre du moulin

Dans une casserole, faire chauffer le beurre et y faire fondre doucement l’échalote finement ciselée jusqu’à ce qu’elle devienne transparente. Ajouter alors la farine, bien lui faire absorber le beurre en tournant sans cesse avec une spatule, un fouet ou une cuiller en bois puis laisser cuire ainsi à tout petit feu pendant 5 à 6 minutes, toujours en tournant.

Parallèlement, on aura fait chauffer le liquide destiné à monter la sauce : il peut s’agir de bouillon de volaille ou, dans le cas d’une sauce destinée à accompagner des moules par exemple, du jus de cuisson des coquillages qui aura été précieusement récupéré et filtré si besoin.

Ajouter ce liquide chaud dans la casserole, progressivement tout en tournant toujours et jusqu’à obtenir la consistance désirée (un peu épaisse). Saler (attention, s’il s’agit d’un jus de cuisson de coquillages, il ne faudra pas saler) et poivrer.

Laisser cuire doucement à nouveau 6 à 8 minutes tout en tournant ; la sauce est cuite et ne doit pas avoir de grumeaux !  réserver au chaud si nécessaire.

Au moment d’utiliser la sauce, dans un bol, mélanger les jaunes d’oeuf et la crème fraîche et verser dans la sauce tout en tournant … encore … sur un feu très doux.

Pour une sauce un peu relevée côté acidité, ajouter alors le jus d’un demi citron, goûter au fur et à mesure jusqu’à obtenir le résultat précisément désiré.

On peut aussi saupoudrer de persil finement ciselé.

De belles pêches pour la dernière grande marée de Septembre en Bretagne ! ici les palourdes ; je les cuisine de différentes manières que je vous proposerai prochainement mais pour aujourd’hui, la plus traditionnelle !

Il faut faire ouvrir les palourdes et pour cela deux procédés au choix :

- soit on met les palourdes directement dans une casserole et on fait chauffer fort, bien tourner à l’aide d’une cuiller en bois ; elles vont s’ouvrir rapidement,

- soit on fait ouvrir les palourdes en lui cuisinant à la marinière comme je vous le propose ci-après.

Cette fois encore, difficile de donner des quantités précises, tout dépend de la taille des palourdes bien sûr !  en gros, j’ai utilisé 125 g de beurre pour farcir 50 palourdes.

Pour deux convives (selon l’appétit !)  :

- 4 douzaines de palourdes
- matière grasse
- 1 très belle échalote
-  brins de persil
- 1 verre de vin blanc sel
- poivre du moulin
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- 125 g de beurre demi-sel
- bouquet de persil
- deux grosses gousses d’ail
- poivre du moulin
  - - - - - - - - - - - - - -
- 1 bol de gros sel

Brosser les palourdes une à une puis les rincer rapidement à l’eau froide, ne pas les laisser dans l’eau ; les égoutter.

Dans une casserole, faire chauffer de la matière grasse et y faire fondre doucement l’échalote ciselée jusqu’à ce qu’elle soit transparente.

Ajouter alors le vin blanc, du persil grossièrement ciselé et quelques tours de moulin à poivre ; faire bouillir tout doux pendant quelques minutes.

Porter le feu au maximum et verser les palourdes. Les coquilles vont s’ouvrir, il faut les remuer en permanence pour qu’elles s’ouvrent de façon homogène. Procéder rapidement, les coquilles doivent juste s’entrebâiller.

Égoutter de suite dans une passoire tout en récupérant le jus de cuisson qui pourra être congelé pour servir ultérieurement de base à une délicieuse sauce.

Laisser refroidir quelques minutes puis ouvrir les coquilles en ne conservant que la partie où la bête est attachée.

Préparer alors le beurre persillé : mélanger intimement le beurre salé, le persil finement ciselé, les gousses d’ail écrasées et le poivre.

 Choisir un plat allant au four et y verser un lit d’un centimètre de gros sel.

J’y vois deux avantages : d’une part les coquilles seront maintenues un peu plus droites et le beurre coulera moins et d’autre part je trouve qu’il n’est pas très appétissant de voir un lit de beurre fondu au fond du plat car le beurre coulera malgré tout un peu mais là, il sera absorbé par le sel.

Farcir les palourdes une à une avec un peu de beurre persillé et, au moment du repas, glisser le plat sous la sole du four (préchauffé) pour 5 mn à 250° (attention, bien surveiller selon le four).

Servir et déguster de suite, c’est juste excellent !

J’ai utilisé 6 cercles de diamètre 7,5 cm et 6 cm de hauteur, les biscuits étaient très copieux.

Des cercles de diamètre inférieur (5,5 cm comme les petits de ce coffret) conviendront aussi, on obtiendra alors environ une dizaine de biscuits, il faudra adapter le temps de cuisson.

La pâte gonfle à la cuisson ; ne pas remplir les cercles jusqu’en haut.

Le programme de télévision donne aussi de bonnes petites recettes, j’ai été séduite par ce velouté basé sur un légume qui n’enthousiasme pas les foules … c’est dommage parce que c’est vraiment délicieux, j’ai adapté la recette au Thermomix mais il n’est pas indispensable.

Sur la photo des ingrédients on peut bien voir les navets que j’ai utilisés ; je ne connaissais pas et, d’après mes recherches, ce serait la variété “navet blanc dur d’hiver”.

Éplucher et laver les navets, la pomme de terre et les oignons, les couper en cubes grossiers.

Les verser dans le bol du Thermomix, ajouter les noisettes (en conserver quelques unes qui seront concassées et présentées sur le velouté), le cube et mixer 10 sec à vit 5.

Compléter avec le lait et l’huile d’olive, saler et poivrer puis programmer pour 25 mn 100° à vit 2.

À l’arrêt de la minuterie, mixer 1 mn à vit 6 puis 1 mn à vit 10 (tenir le bouchon avec un torchon).

Si la consistance est trop épaisse, ajouter de l’eau jusqu’à obtenir celle désirée.

Goûter et rectifier l’assaisonnement si nécessaire avant de servir bien chaud en décorant chaque assiette en son milieu de noisettes concassées.