Juste à l’instant où je me documentais pour faire un bon pain de mie, Valérie, du blog “C’est ma fournée” publiait cette méthode originale que je vous propose à mon tour.

Venue de Chine, elle est très simple à mettre en oeuvre et donne un pain très moelleux.

On peut l’appliquer à toutes les pâtes levées en faisant chauffer l’eau à 65° avec 20% de son poids en farine ; la mixture obtenue (consistance d’un roux) s’appelle le tang zhong. Ce procédé développe considérablement le gluten et la pâte lève bien mieux. 

Il est préférable de le faire la veille au soir et de lui faire passer la nuit, filmé au contact, au réfrigérateur.

J’ai conservé ce pain de mie deux jours bien à l’abri dans un sac plastique zippé. Même s’il est meilleur frais, il se conserve assez bien.

On peut découper en tranches et congeler. Ensuite, directement au grille pain et bien surveiller !

Voici comment j’ai procédé :

Dans une petite casserole, mélanger, à l’aide d’un fouet à main :

Le tang zhong : ** - 20g de farine T 45 - 100g d'eau

mettre sur le feu et porter à 65° tout en tournant en permanence.

Le mélange va épaissir et prendre la consistance d’une crème épaisse. Couvrir et réfrigérer.

** Le tang zhong se fait la veille au soir mais, en cas d’oubli, il peut se faire aussi juste
     quelques heures à l’avance (6 heures au moins) ; le résultat sera très honorable.
     Dans ce cas, le conserver à température ambiante.

La pâte : - 5g de levure sèche   (Bruggeman par exemple) - 110g de lait demi-écrémé - 350g de farine T 45 - 5g de sel fin - 50g de sucre semoule - 7g de lait entier en poudre (facultatif) - 1 gros oeuf - 30g de beurre bien mou - 100g de tang zhong

Le matin, penser à sortir le tang zhong du réfrigérateur pour qu’il reprenne la température ambiante.

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot), faire fondre la levure dans le lait tiédi.

Ajouter ensuite la farine, le sel, le sucre, le lait en poudre, l’oeuf, le beurre et, pour finir, 100 g de tang zhong.

Fixer le crochet pétrisseur et lancer pour 10 mn à vit 1.

Rassembler la pâte (collante), couvrir d’un linge humide et mettre à lever dans le four en position étuve.

Comme toujours le temps de levée sera variable en fonction de bien des facteurs mais il faut que la pâte ait doublé de volume (compter entre 1 h 30 et 3 h), elle est remplie de bulles d’air.

La peser afin de la diviser en 4 pâtons d’égale grosseur (fariner le plan de travail et les mains car la pâte colle).

Ensuite, pour chaque pâton :

- étaler d’une forme rectangulaire,
- plier en trois,
- pivoter d’un quart de tour ,
- étaler de nouveau en rectangle,
- rouler la pâte

Déposer ces rouleaux de pâte dans un moule à cake (ici longueur 27 cm, largeur 11 cm).

Sans couvrir, remettre à lever dans le four en fonction étuve (environ 1 h).

Lorsque la pâte est bien gonflée, passer un peu de lait tiédi à l’aide d’un pinceau puis enfourner pour 45 mn dans un four préchauffé à 150°.

Ici la dorure est faite au lait mais on peut la faire avec un jaune d’oeuf. Pour un pain de mie destiné à un croque monsieur salé par exemple, il conviendra de diminuer la quantité de sucre. Ici, ce pain de mie ressemble à une brioche sucrée. On peut modeler en formes différentes voire individuelles et les parsemer de sucre en grain ou de pépites de chocolat.

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Me croirez-vous si je vous dis que c’est excellent ? j’espère bien !

Le Thermomix est le roi de la sauce légère. Ici très très peu de matière grasse et une sauce onctueuse grâce à la courgette mixée et relevée par le chorizo.

- 1 joli dos de cabillaud - 1 gros oignon - 1 belle gousse d’ail - 1 cuiller à soupe d’huile - 150 g de vin blanc sec - 150 g d’eau - 10 cm de chorizo (doux ou fort selon les goûts) - 1 jolie courgette ou 2 petites - 2 carottes  (en fines rondelles) - 1 morceau de patate douce (en cubes) - 4 à 6 pommes de terre (en cubes) - 80 g de crème fraîche liquide - sel fin et poivre du moulin

Préparer les carottes, la patate douce et les pommes de terre comme indiqué ci-dessus. Les verser dans cet ordre dans le panier cuisson.

Peler la courgette, la couper en quatre, retirer les graines puis découper en gros dés ; une moitié ira dans le bol pour faire le liant de la sauce, l’autre moitié est à déposer dans le fond du varoma.

Rincer le dos de cabillaud, l’essuyer puis le couper en morceaux. Le déposer dans le plateau du varoma en glissant un papier cuisson dessous (évite un nettoyage très fastidieux du plateau), saler, poivrer.

Dans le bol du Thermomix, mettre l’oignon coupé en 4 et la gousse d’ail, mixer 5 sec à vit 5, rabattre à l’aide de la spatule.

Ajouter l’huile et programmer 4 mn, 100° à vit 2.

Verser le vin blanc, l’eau, les rondelles de chorizo, la moitié des dés de courgette, du sel, du poivre.

Poser le panier cuisson dans le bol, fermer le couvercle et ajouter le varoma et son plateau vapeur. Programmer pour 25 mn, temp. varoma, vit 2.

A l’arrêt de la minuterie, vérifier la bonne cuisson de l’ensemble.

Retirer le panier cuisson et réserver avec le varoma complet.

Mixer 1 mn à vit 9 puis verser la crème fraîche par l’orifice du couvercle et lancer pour 1 mn, 90° à vit 2.

Servir sans tarder (assiettes chaudes de préférence)  !

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Certes, il ne faut pas s’y prendre au dernier moment mais une fois le poulet au four il n’y a pas à surveiller, ceci compense cela … nous apprécions vraiment cette cuisson douce qui ne sèche pas la chair, essayez vous aimerez à coup sûr    il est accompagné de “quinoa aux carottes”, recette Ici.

Donc, pour pouvoir servir ce poulet à 12 h 30 par exemple, il faudra l’enfourner à 9 h 30 !

Parer le poulet, le farcir d’un joli bouquet d’estragon frais, saler, poivrer et enfourner à four préchauffé à 120° pour 2 h 30 mn.

A cette issue, sortir le poulet, ajouter un petit verre d’eau pour déglacer les sucs, monter la température du four à 190° (j’utilise la fonction “rôtisserie”), mettre le poulet sur le ventre et enfourner pour 30 mn en le remettant sur le dos après 15 mn.

                                                           Découper et servir !

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Merci à Josette qui nous a proposé ce petit dessert ; la semoule évoque de suite les souvenirs d’enfance    l’acidité des framboises donne de l’équilibre et nous nous sommes régalés.

- 500 g de lait demi-écrémé - 65 g de semoule fine - 4 gros œufs - 35 g de sucre semoule - 10 g de maïzena - 15 g d’arôme vanille liquide - 10 framboises congelées par ramequin - un peu de cassonade

Faire préchauffer le four à 180°C. Dans une petite casserole, porter le lait à ébullition. Y jeter la semoule en pluie, ajouter la vanille liquide et faire cuire à petits bouillons pendant 5 mn sans cesser de remuer. Arrêter la cuisson. Dans un bol, battre les œufs entiers avec le sucre puis ajouter la maïzena. Verser ce mélange dans la casserole et mélanger de suite à l’aide d’un fouet à main. Répartir la préparation dans les ramequins puis ajouter les framboises encore congelées en les enfonçant légèrement. Saupoudrer de cassonade et enfourner pour 15 mn. Laisser refroidir avant de réfrigérer en attendant l’heure du dessert !

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Avec mon amie Christalie, nous avons fait l'expérience du mini pâté croûte, chacune de notre côté, à notre idée, vous trouverez ici sa version très alléchante à base de canard ...

Nous y voilà ! pour l’apéritif ou en composition dans une entrée, il fera merveille !

On peut varier les viandes, partir sur du gibier, ajouter des noisettes ou des pistaches etc … un autre jour, je vous proposerai un pâté au poisson !

Il n’y a aucune difficulté particulière si ce n’est de glisser correctement la pâte dans un moule étroit et haut.

Il est conseillé de ne le déguster qu'après 24 heures !!!

J’ai choisi ce moule : 30 cm de long, 4 cm de largeur et 6 cm de hauteur. Ma recette correspond à un pâté dans ce moule.

Réaliser la pâte 24 à 48 heures à l’avance et la conserver au réfrigérateur.

Dans un saladier, mélanger intimement la farce, l’oeuf, le Cognac, le 4 épices, sel et poivre.

Découper en fines lanières le poulet, je jambon et l’échine de porc.

Pour installer la pâte dans le moule :

Découper un papier cuisson de la forme ci-dessous (conserver ce gabarit pour une prochaine fois).

Donner au pâton la forme d’un boudin avant de l’étaler à la dimension du papier cuisson  puis découper la pâte en laissant un centimètre tout autour (conserver les chutes pour le chapeau).

Rabattre les quatre côtés les uns sur les autres et déposer délicatement l’ensemble dans le mini moule à pâté croûte avant de déplier le tout à l’intérieur.

Il faut bien assembler les angles et ne pas percer la pâte sinon la gelée s’écoulera à l’extérieur ! (pour bien souder les angles, j’ai utilisé le manche en bois d’un couteau pointu).

La pâte doit dépasser d’un petit centimètre tout autour.

Rassembler les découpes et étaler pour obtenir le chapeau du pâté (32 cm x 6 cm).

Garnir le moule :


Bien tasser les couches au fur et à mesure, ne pas laisser de trou.

Au fond, étaler un tiers du mélange de farce, soit 120 g environ.

Répartir ensuite une couche de fines lanières des viandes et jambon.

Puis une couche d’environ 120 g de farce.

Une deuxième couche de fines lanières de viandes et jambon.

Enfin, le reste de la farce.

Fermer le pâté :


Déposer le chapeau de pâte.

Pincer ensemble la pâte du chapeau et le débord de la base puis rabattre ce bourrelet vers l’intérieur.

Faire deux cheminées avec la pointe d’un couteau et y glisser un papier d’aluminium doublé et roulé sur lui-même.

Décorer avec la pointe d’un couteau.

A l’aide d’un pinceau, passer du jaune d’oeuf délayé dans un demi-doigt de lait.

Cuire le pâté :


Conserver le pâté au frais pendant le préchauffage du four.

Préchauffer le four à 190°.

Poser le moule garni du pâté sur une feuille de cuisson (il peut y avoir des fuites …) puis sur une plaque de cuisson perforée et enfourner pour 40 mn (retourner le moule à mi cuisson pour que les deux côtés intérieurs soient bien dorés).

Et la finition :


Une fois le pâté sorti du four, le laisser un peu refroidir puis le démouler et le déposer sur une grille en hauteur.

Lorsqu’il est froid, préparer la gelée selon les instructions du paquet et, à l’aide d’un entonnoir, la verser dans les deux cheminées jusqu’à remplir le pâté ; s’il y a des trous dans la pâte c’est à ce moment là que les ennuis commencent car la gelée s’échappe  !

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Vous trouverez ICI mon "Pâté en croûte cocktail" réalisé avec cette pâte.

C’est hyper facile, à faire avec un robot ou à la main avec un peu plus de courage !

- 500 g de farine T 45 - 250 g de beurre bien mou - 1 gros oeuf - 140g d’eau tiède - 6 g de sel fin

Dans le bol du robot, verser la farine, le beurre bien mou en petits morceaux et l’oeuf. Installer le crochet à pétrir et mélanger pendant 1 à 2 mn à vit 2.

Ajouter le verre d’eau tiède dans lequel on aura fait fondre le sel.

Pétrir en vit 1 jusqu’à ce que la pâte se détache bien du bol. Ajouter un tout petit peu d’eau si nécessaire.

On obtient environ 900 g de pâte.

Sortir la pâte, former une boule, couvrir d’un film et réfrigérer pour 24 ou 48 heures.

Il faut choisir une farine de très bonne qualité. Faire la pâte un ou deux jours avant de l’utiliser est toujours recommandé.

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Il y en a encore sur les marchés et puis aussi dans nos congélateurs ! alors, je fais de temps en temps cette brioche et hum …  c’est bon !!!

C’est une grande quantité alors je congèle, c’est très agréable pour un petit goûter par exemple.

Au préalable, faire cuire la chair de la courge (à la vapeur par exemple) comme je l’ai expliqué Ici. S’il s’agit de chair cuite et congelée, la placer au réfrigérateur la veille au soir pour qu’elle décongèle tranquillement. La laisser s’égoutter dans une passoire pendant une heure après décongélation.

Dans le bol du Kitchenaid, verser la levure, la farine, le sucre semoule, les oeufs, la chair de courge, le lait et le sel fin. Mélanger ces ingrédients pendant 2 mn à l’aide de la feuille. Retirer la feuille et placer le crochet ou la spirale puis pétrir pendant 10 mn à vit 2. Laisser reposer pendant 10 mn puis verser le beurre en petits morceaux et pétrir à nouveau pendant 10 mn à vit 2. Couvrir le bol d’un film ou d’un linge et laisser pousser pendant une bonne heure (selon les conditions atmosphériques), la pâte doit doubler de volume. La verser alors sur le plan de travail bien fariné (elle colle légèrement) puis la dégazer et lui redonner de la vigueur. Découper alors en petits pâtons à déposer dans le moule choisi. Couvrir d’un film ou d’un linge puis laisser à nouveau lever pendant environ 45 mn. Dorer à l’aide d’un pinceau en répartissant le mélange jaune d’oeuf/lait. Enfourner dans un four préchauffé à 180° pour 30 à 45 mn selon la grosseur de la ou des brioches. Démouler et placer sur une grille jusqu’à complet refroidissement.

                            à décliner sous toutes les formes ……………

 

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Il m’a fallu faire quelques recherches pour trouver le nom exact de ce plat que nous apprécions depuis bien des années.

En fait c’est une spécialité hongroise réalisée avec du saucisson à l’ail plutôt que du chorizo et des lardons. Bon, ce n’est pas grave, l’essentiel étant que c’est délicieux et on ne peut plus simple à réaliser.

Les quantités sont à déterminer selon les envies et les appétits 

- pommes de terres (cuites à la vapeur avec leur peau) - oeufs cuits durs - lardons “nature” - chorizo - paprika - crème fraîche liquide entière

Une fois cuites, éplucher les pommes de terre et les couper en rondelles pas trop fines.

Ecaler les oeufs durs et les couper également en rondelles.

Blanchir les lardons ; les couvrir d’eau, porter à ébullition pendant 3 mn puis égoutter soigneusement.

Peler le chorizo et le couper en rondelles.

Dans un plat à gratin, déposer la moitié des rondelles de  pommes de terre puis les oeufs, les lardons, le chorizo et finir par l’autre moitié des pommes de terre.

Saupoudrer de paprika doux en poudre puis arroser généreusement de crème fraîche.

Enfourner pour 25 mn dans un four préchauffé à 180°C.

Saler si désiré sans oublier que le chorizo et le lard le sont déjà largement. Le chorizo sera choisi '”doux” ou “fort” selon les goûts ! En cas de grande quantité, on peut répéter les couches successives pour finir toujours par des pommes de terre, le temps de cuisson sera alors prolongé.

Cet appareil fait merveille pour ces petites tourtes. Tout peut se préparer au dernier moment si on veut ; la pâte est vite faite, vite étalée, encore plus vite découpée. Quant à la garniture, rien de plus simple.

Une fois tout en place, on ferme le Pie & Co, on le branche. Mettre un peu d’ordre sur le plan de travail, préparer la salade, mettre la table et hop ! c’est un régal tant à regarder qu’à déguster.

Bon, fini la promo, passons à la recette, j’ai utilisé une pâte brisée salée que vous trouverez ICI.

Pour la garniture, des blancs de poireau décongelés et cuits tendrement dans une petite poêle (avec une noix de beurre) le temps de faire la pâte.

Pour 4 tourtes : ► 1 pâte à tarte ► 100 g de saumon fumé en petits dés ► 150 g de blanc de poireau (frais ou congelé) ► 1 oeuf ► 50 g de lait demi-écrémé ► 50 g de crème fraîche liquide ► noix de muscade râpée ► sel fin et poivre du moulin

Installer dans les empreintes du Pie & Co les fonds de pâte, bien les fixer sur les bords. 

Répartir les poireaux cuits, les dés de saumon fumé. 

Dans un petit saladier, battre l’oeuf avec le lait, la crème et la noix de muscade (inutile de saler) et répartir dans les empreintes.

Poser les dessus de pâte et bien les souder avec les fonds pour que la préparation ne s’échappe pas. 

Brancher l’appareil et laisser cuire environ 20 mn. A mi-cuisson, retourner l’appareil (bien le prendre avec des gants) pour que les chapeaux soient bien gonflés et dorés.

Lorsque la pâte est bien dorée dessous et dessus, c’est cuit !

A table !

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Gentil Père Noël, je te remercie !

Christalie, mon amie blogeuse experte en pâtisserie (ici pour visiter son blog), a suivi avec intérêt mon apprentissage en matière de travail du chocolat … rien n’est gagné d’avance avec le chocolat et, cette année encore, je ne suis pas suffisamment au point pour vous faire partager mon expérience en “bonbons de chocolat” 

Mais j’y travaille et à présent, avec ce super livre qu’elle vient de m’offrir, je crois en ma future réussite, c’est sûr et certain, les chocolatiers n’ont qu’à bien se tenir ….  mdr !

“Chocolat” écrit par Eliq Maranik, publié aux éditions Ullmann, je vous le conseille. Les explications sont claires et précises, les photos magnifiques, les recettes variées et accessibles ! Tirée (et à peine modifiée) de ce livre, je vous propose aujourd’hui les “Biscotti au chocolat”.

Pour 30 à 36 biscuits : - 185 g de sucre vanillé maison    (ou 170 g de sucre + 15 g de sucre vanillé) - 3 gros oeufs (2 entiers + 1 jaune) - 60 g de chocolat noir - 290 g de farine T65 - 15 g de levure chimique

Faire préchauffer le four à 190° (position gâteaux).

Hacher le chocolat et le mélanger à une cuiller à soupe de farine, réserver.

Dans un cul de poule, fouetter les 2 oeufs  jusqu’à ce qu’ils deviennent mousseux.

Ajouter la farine et la levure chimique tamisées, le sucre vanillé maison puis le chocolat, bien mélanger l’ensemble.

Diviser cette pâte en trois et modeler des boudins d’environ 3 à 4 cm de diamètre. Les déposer sur une feuille de cuisson en les espaçant, ils vont un peu s’étaler.

Passer le jaune d’oeuf restant à l’aide d’un pinceau et enfourner pour 20 mn si vous désirez des biscotti bien secs ou quelques minutes de moins pour qu’ils soient plus moelleux.

Découper les boudins en tranches, en biais, tant qu’ils sont encore chauds.

” Savourés avec le café, les biscotti sont irrésistibles. Plongés dans le chocolat fondu, ils sont divins !”  E. Maranik

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Des parts généreuses peuvent faire un plat complet avec quelques feuilles de salade verte. Sinon, de petites portions feront une entrée remarquée !  c’est vraiment excellent et le goût du céleri (pour ceux qui n’aiment pas trop) est en partie atténué par celui du fromage.

Sur les emballages il y a souvent de bonnes petites recettes ; j’avais conservé celle-ci qui vient du dernier rouleau de pâte feuilletée que j’ai acheté avant de la faire moi-même, recette ici

- 1 pâte feuilletée maison     (ou un rouleau du commerce) - 100 g de lardons fumés - 150 g de gorgonzola - 1 céleri rave (600 g épluché) - 130 g de lait demi-écrémé - 3 gros oeufs - 1/2 citron - 2 c. à soupe d’huile d’olive - PAS de sel

Faire préchauffer le four à 180°C.

Etaler la pâte, la plier en 8 pour la déposer aisément dans le moule, la piquer à l’aide d’une fourchette.

Pour éviter qu’elle ne gonfle à la cuisson, poser dessus un autre moule par exemple ou du papier cuisson recouvert de haricots. Faire cuire à blanc pendant 15 mn.

     

Eplucher le céleri, en prélever 1/4 (à titre indicatif 150 g) et le râper. Arroser du jus de citron et réserver.

 

Couper le reste du céleri en petits cubes (à titre indicatif, 450 g). Les faire revenir (sans coloration) dans l’huile d’olive pendant 5 à 6 mn. Ajouter alors 100 g d’eau, couvrir et faire cuire doucement pendant une bonne vingtaine de minutes. Ensuite, bien égoutter et laisser refroidir.

     

Dans un petit saladier, couvrir d’eau les lardons et mettre au four m.o. pleine puissance pendant 4 mn, égoutter soigneusement.

 

Fouetter les oeufs, ajouter le lait.

Sur le fond de tarte pré-cuit, répartir les lardons puis les dés de céleri et enfin le gorgonzola coupé en cubes. Couvrir du mélange oeufs/lait.

Enfourner dans le four préchauffé à 200° “tartes” pour environ 30 mn. 

Sur chaque part, répartir du céleri cru râpé et légèrement citronné. Servir également un éventuel surplus de dés de céleri cuits.

Accompagner d’une salade verte avec vinaigrette à l’huile de noix et échalote émincée.

La cuisson du céleri peut se faire la veille, il aura ainsi bien le temps de s’égoutter et ne détrempera pas la pâte. Une fois la pâte étalée dans le plat, la passer quelques minutes au réfrigérateur avant de l’enfourner.

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Envie de légumes ? petite purée sans prétention, bien de saison, vite faite par notre ami le Thermomix !

- 500 à 550 de chair de potiron    (poids épluché) - 350 à 400 g de pommes de terre    (poids épluché) - 150 à 200 g de lait ** - sel fin

Une fois les légumes épluchés, lavés et pesés, les découper en petits cubes.

Insérer le fouet dans le bol du Thermomix puis y verser les légumes, ajouter le lait et le sel puis programmer pour 25 mn 100° FSI à vit 2, sans mettre le gobelet.

A l’arrêt de la minuterie, retirer le fouet et mixer 10 sec à vit 6.

Une petite noix de beurre ou un filet de crème fraiche au moment de servir !

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Pour commencer la journée, un bon petit déjeuner est de mise !

Il y a les traditionnelles tartines pain, beurre, confiture … et puis aussi les corn flakes … le yaourt  …  tout ceci souvent avec café, thé ou chocolat.

Les conseils qui nous sont abondamment prodigués nous invitent souvent à changer nos habitudes alimentaires . De nombreuses personnes sont devenues allergiques aux PLV (Produits Laitiers de Vache) ou au gluten ; le Miam-ô-Fruits est sans PLV ni gluten !


J’ai la chance de connaître une praticienne Shiatsu hors pair qui me prodigue les meilleurs conseils en la matière.

Elle m’a fait connaître ce Miam-Ô-fruits ou “MOF” de  France Guillain qui s’est elle-même inspirée de la crème Budwig du Dr Kousmine.

Bon, n’allons pas croire que nous deviendrons des centenaires à l’éternelle jeunesse   

Je ne respecte pas chaque matin la totalité du protocole mais, depuis que je l’ai adopté, j’en garde les bases principales, même si parfois il manque un voire deux ingrédients.

Il est vivement recommandé d’utiliser des produits biologiques.


Voici donc de quoi est fait un “MOF” pour une personne et précisément celui de ce matin :

Banane	1 petite ou 1/2 grosse	Elle doit être écrasée à la fourchette,      jusqu’à obtenir une purée bien lisse.      Pour qu’elle ait le temps de s’oxyder      et de se transformer en protéine      végétale, il faut l’écraser la veille      au soir.      Elle va changer de couleur,devenir      sombre, c’est normal et n’altère pas      le goût.
Huile	2 cuillers à soupe rases	L’huile bio sera de colza ou encore       de noix, d’olive …          Il est essentiel qu’elle soit de très       bonne qualité, bio de préférence.
Lin + Sésame	2 cuillers à soupe rases	Ces petites graines très dures doivent       être broyées finement (3 c. à soupe de         chaque au thermomix 30 sec à vit 9 ou  moulin         à café électrique).       On peut les broyer à l’avance et les       stocker dans un bocal, au frais,       mais pas plus d’une semaine, sinon       elles risquent de devenir toxiques.
Citron	1/2 citron soit 2 cuillers à café environ	Utiliser le jus fraîchement pressé.
Noix, noisettes graines de courge	1 cuiller à soupe rase	Ces graines (ni salées, ni grillées, ni trempées)        doivent être concassées, en gros,        ou laissées entières pour les petites.        Elles sont à varier : noix, noisette,        graine de courge, de tournesol,        cajou, pécan, amande, macadamia.        On peut les préparer à l’avance en        les stockant dans un bocal.
Fruits frais	3 sortes au choix dont la pomme	Selon la saison on choisira les fruits        à notre goût : pomme, kiwi, poire,        litchi, ananas, mangue, cerise,        fraise,framboise, pêche, mûre,        myrtille, pêche, abricot, groseille,        figue, kaki ...        Les petits seront entiers, les gros en        partie seulement.        Par contre, il faut exclure :        orange, pamplemousse, mandarine,        clémentine, melon, avocat,        pastèque ainsi que tous les fruits        et baies séchés tels que raisin sec,        abricot sec, figue sèche, datte sèche,        cranberry …

La mise en oeuvre est simple :

À la banane écrasée la veille, ajouter l’huile et bien l’émulsionner ; elle doit être entièrement

absorbée par la banane.

Ajouter alors le jus de citron fraîchement pressé et bien mélanger puis les graines

broyées, bien mélanger.

Parsemer des graines oléagineuses concassées.

Couper dessus les fruits frais.

Voilà, c’est prêt ! il faut que ce soit joli et appétissant !

Il est important de mastiquer lentement chaque bouchée, prendre son temps est essentiel.

Le Miam est conseillé aux parents comme aux enfants 

Pour le régal des petits et des grands, il peut être transformé en smoothie : dans ce cas,

ajouter un peu d’eau dans le blender pour fluidifier et déguster à la paille (sans aucun autre ajout).



                   
                J’espère juste vous avoir donné l’envie d’essayer !

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Tous mes voeux pour cette nouvelle année !



Qu’elle nous donne la santé et nous apporte tout le bonheur du monde.



 

Le début de l’année c’est la fin des jours les plus courts.


Toutes voiles dehors, nous filons à présent vers le printemps et les beaux jours de l’été …


  bon, je vais un peu vite là  !

Quand les fêtes seront finies, nous aurons bien besoin d’une “pause digestive”


mon premier billet de cette nouvelle année vous parlera


d’un petit dej’ tout aussi original que délicieux !

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