Voilà qui ne convient pas à tous les palais !

Ici nous aimons tout (ou à peu près …) alors, de temps en temps, nous nous régalons de viande crue accompagnée de chips ou de frites …

Je pratique comme je le faisait ma maman c’est à dire que je prépare ma viande directement dans le papier du boucher : je l’assaisonne puis la mélange à la fourchette avant de la replier sur elle-même en soulevant un coin du papier, je recommence jusqu’à ce que tout soit bien homogène.

Pour un vrai steack tartare, on demandera au boucher de découper la viande, au couteau, en très petits cubes, on ajoutera des câpres et on présentera la viande surmontée d’un jaune d’oeuf dans sa coquille, je ne le fais pas car nous préférons sans, juste question de goût.

Souvent on prend simplement de la viande hachée ; elle doit être est de très bonne qualité, hachée devant vous par le boucher et surtout, une fois hachée, il faut la consommer dans la journée.

Tout est dit ! c’est très vite fait et délicieux quand on aime la viande crue évidemment.

Il faut servir la viande bien froide.

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Voici donc un délicieux sorbet aux framboises et quand je dis “délicieux”, je pèse le mot !

Initialement, je désirais passer les framboises, encore congelées, dans le Hurom 400 pour en extraire les pépins. Mais voilà, ce n’est pas vraiment possible car on obtient une purée glacée (avec  pépins) dont j‘ai parlé dernièrement ici.

Donc, je me suis résignée à attendre une décongélation au moins partielle avant de passer les framboises dans le Hurom 400 pour dissocier le jus des pépins.

Un fois prêt, ce sorbet sera à consommer de suite ou très rapidement puisqu’il y a eu un processus de décongélation/recongélation. J’ai opéré très très vite, j’ai mis le bac de sorbet au congélateur et nous l’avons consommé dans la semaine ; je ne pense pas avoir pris plus de risque sanitaire qu’en achetant un sachet de petits pois congelés que je vois parfois stationner sur palette au moins une heure au milieu de l’allée du supermarché !





Pour éliminer les pépins, voici deux méthodes :

Verser les framboises dans une grande casserole et porter à ébullition pour une ou deux minutes tout en remuant à la spatule. Ensuite, on peut retirer les pépins à l’aide de cet instrument ; on récupère la purée de framboises, réfrigérer.

Ici, avec un extracteur de jus comme le Hurom 400. Verser les framboises un peu décongelées dans la cheminée et récupérer le jus/purée, réfrigérer. C’est plus rapide mais, faute d’extracteur, le petit moulin de gauche est bien pratique. Ensuite, même procédure : peser le même poids de jus/purée de framboises, d’eau (j’ai passé l’eau dans l’extracteur et j’ai ainsi récupéré tout le reste de purée) et de sucre spécial confiture. Bien mélanger et passer en turbine.

Une fois le sorbet turbiné, le verser dans le bac choisi (mis au congélateur auparavant) et placer au congélateur.

Les proportions 1/3 fruits, 1/3 eau, 1/3 sucre à confiture, donnent un sorbet assez sucré ; on peut diminuer la proportion de sucre si désiré 

Pour pouvoir rouler de jolies boules, mettre si nécessaire, le bac une dizaine de secondes au four m.o. en position “décongélation” ; la masse est assouplie mais non décongelée, ça marche super bien.

Déguster ce sorbet avec quelques biscuits secs ou des tuiles aux amandes et des meringues faites maison bien sûr !!!

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C’est à mon amie Christalie que je dois cette recette, je vous conseille une petite visite chez elle, il y a plein de bonne idées et en particulier des gâteaux montés dont elle a le secret !

Quoi de plus savoureux qu’une tuile aux amandes pour accompagner une ou deux boules de glace !

Ce n’est que du bonheur et c’est si facile à réaliser …  point n’est besoin d’appareil sophistiqué pour une fois !  un saladier, un petit fouet à main pour la pâte puis une feuille de cuisson en silicone (ou du papier cuisson) et un rouleau à pâtisserie ; le tour est joué.


Le nombre de tuiles sera fonction de l’étalement de la pâte, je les ai fait toutes grandes et bien fines …

- 52 g de beurre  - 3 blancs d’oeuf   ( gros : 110 g environ) - 150 g de sucre semoule - 75 g de farine tamisée - 1 pincée de sel fin - 100 g d’amandes effilées

Dans un saladier, verser le beurre et le faire bien ramollir au four à m.o.

Ajouter le reste des ingrédients sauf les amandes effilées et mélanger l’ensemble à l’aide d’un petit fouet. Ne pas battre, juste mélanger.

Faire préchauffer le four à 180°.

Sur une feuille silicone, déposer des cuillers à café de pâte (cinq suffiront à remplir la plaque). Avec le dos d’une fourchette, étaler la pâte jusqu’à obtenir la taille désirée et un disque presque transparente (retirer le trop de pâte qui reste sur la fourchette).

Disperser les amandes effilées avant d’enfourner pour environ 8 mn.

Il est intéressant d’avoir deux feuilles silicone pour enchainer les cuissons sans perte de temps.

Les tuiles sont cuites quand le pourtour est bien doré.

Dès la sortie du four, décoller le bord d’une tuile et la poser de suite sur le rouleau à pâtisserie dont elle prendra de suite la forme en refroidissant.

Poursuivre rapidement car il faut faire vite ; si les tuiles refroidissent à plat il ne sera plus possible de leur donner la forme arrondie car elles casseront, d’où l’intérêt de n’en faire cuire que 5 à la fois (ou alors, avoir une collection de rouleaux à pâtisserie …).

Les tuiles ramollissent à grande vitesse (surtout par temps humide) et ne sont plus aussi plaisantes à croquer , elles se conserveront “un peu” dans une boîte en fer. J’en congèle dès complet refroidissement (les unes à côté des autres sur une plaque avant de les ensacher lorsqu’elles sont congelées). Je les sors juste au moment de les manger (les manger glacées), elles sont craquantes comme à la sortie du four !

                                    Craquantes à souhait !

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C’est en zappant le temps nécessaire à la décongélation des framboises pour faire un sorbet traditionnel et sans pépins que j’ai découvert que l’on pouvait faire un sorbet express avec cet extracteur de jus (Hurom 400).

Il m’arrive de mettre des framboises congelées dans des jus composés et ça passe dans le circuit sans problème.

Par contre ici, je n’ai mis que des framboises qui sortaient direct du congélateur : aucun déchet n’est sorti et, du côté de la sortie du jus, c’est une purée épaisse et glacée que j’ai pu récupérer.

En mettant le tout dans un bol, en tassant un peu, j’ai creusé de jolies petites boules bien rouges prêtes à consommer (par contre, il y a les pépins) de suite.

Je n’avais que des abricots sous la main alors je les ai lavés, coupés en petits carrés (environ de la grosseur d’une framboise) et mis à congeler, à plat et ce sera mon prochain test, ça doit marcher avec tous les fruits congelés, de la même manière que les sorbets faits au Thermomix.

Mon prochain billet sera consacré aux tuiles aux amandes puis ensuite viendra le sorbet aux framboises, hé oui, encore ! mais cette fois avec la recette initialement prévue    ce sera une “semaine sucrée” !

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Il y a peu de temps, je vous ai parlé de l’extracteur de jus vertical Hurom 400 ; outre bien sûr les jus de fruits et de légumes que l’on peut décliner à l’infini, on peut  faire du lait d’amande ou de noisette par exemple.

Le lait de vache est très décrié et on préconise souvent de le remplacer par du lait végétal alors voici comment faire avec le Hurom 400, vous allez voir que c’est enfantin. Ce lait se conservera, couvert et au réfrigérateur, pendant quelques jours seulement.

On peut aussi faire du lait d’amande avec le Thermomix ou un simple blender.

La veille au soir, faire tremper les amandes dans de l’eau, elles vont gonfler.

Le lendemain matin, jeter l’eau de trempage puis bien les rincer.







Les introduire dans la cheminée de l’extracteur avec un peu d’eau ; on obtient un lait épais.

Recueillir la pulpe rejetée et la passer à nouveau dans la cheminée de l’extracteur jusqu’à obtenir un résidu bien sec **

** ce résidu est appelé “okara”     (nom donné initialement au résidu obtenu lors de la fabrication du lait de soja). Il ne faut pas le jeter : on l’incorporera (frais sous deux jours) dans une pâte à cookies ou à muffins par exemple, au four on le fera sécher pour le conserver plus longtemps ou alors on peut le congeler sans problème en attendant son heure !

Compléter avec de l’eau jusqu’à obtenir 80 cl de lait d’amande et bien remuer (le bol qui recueille le jus est gradué, c’est très pratique). 

Voilà, c’est prêt ; à déguster bien frais ou à utiliser pour remplacer le lait de vache et pourquoi pas une délicieuse glace …. à suivre prochainement !

Acheter les amandes entières (le Hurom 400 va les broyer) avec la peau sera bien moins coûteux. Il faudra donc les émonder, vous trouverez Ici comment faire. En vrac dans un magasin bio, leur coût au kilo sera aussi inférieur à celui des sachets vendus dans les supermarchés.

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En principe mes choix en matière de farine sont assez classiques.

J’ai repéré à Carrefour Market une farine  de blé T45, qualité type 00 dite “farine à pizza”. Intriguée, je me suis documentée.

J’ai tout lu et son contraire ! au final, il semble que “00” soit une appellation italienne et que cette farine contienne un fort taux de gluten qui rend donc la pâte très élastique, ce qui est super pour la pizza !

Sur l’emballage, figurait une recette de pizza appelée “Golozza”, elle est vraiment excellente, je vous la propose donc :

Pour les quantités, rien de bien précis, mais par exemple, la boite de sauce tomate “TomaPizza” convient parfaitement pour 3 pizzas, une boule de mozzarella pour 2 pizzas et prévoir deux à trois tranches très fines de jambon sec par pizza.

Faire la pâte à pizza avec cette farine ou une autre    vous trouverez ICI et ICI ou encore ICI les recettes que j’ai déjà proposées.

Étaler la pâte et la garnir de sauce tomate puis de tranches de mozzarella.

Enfourner la pizza dans un four préchauffé à 250° (position tarte) et la faire cuire pendant 5 à 7 mn.

Une fois sortie du four, garnir de tranches de jambon sec et parsemer de feuilles de roquette et de copeaux de parmesan.

Faire couler un fin filet d’une bonne huile d’olive parfumée (important, ça donne vraiment la touche finale) et servir sans tarder !

Régalons nous !

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Cette matière grasse végétale (100 % naturelle) est bien sympa pour de nombreuses utilisations.

J’en ai acheté la première fois chez un grossiste pour me lancer dans la fabrication des bonbons de chocolat car ce beurre de cacao Mycryo simplifie grandement le tempérage du chocolat qui est une étape difficile à réussir pour des néophytes de mon genre dans cette discipline   on peut se le procurer sur le net sans difficulté.

Comme toujours, je précise que je n’ai aucun partenariat, je parle simplement d’un produit intéressant et sans doute peu connu.

Il a été “inventé” par les maîtres chocolatiers de la maison Cacao BARRY et est obtenu par la cryogénisation du beurre de cacao. Il se présente sous forme de poudre déshydratée.

Outre pour le tempérage du chocolat, il peut être utilisé pour la cuisson des poissons, des viandes, des légumes, des oeufs au plat, des coquilles Saint Jacques ou du foie gras et ce ne sont que des exemples ! 

Il résiste parfaitement à de hautes températures (200°), est pratiquement inodore et ne donne aucun goût aux aliments qu’il cuit. On peut l’utiliser à la poêle, au wook, au bbc etc…

Il est dit qu’il est pauvre tant en calories qu’en vilain cholestérol !

Voilà, c’est une simple information qui retiendra peut-être votre attention 

Sur le forum Supertoinette dédié au Thermomix, ma copinaute Orchidée a proposé ce délicieux gâteau ; je n’ai pas tardé à réaliser sa recette, merci !

Peu de pâte et beaucoup de pommes, voici le secret de cet “invisible”, c’est délicieux qu’on le serve tiède, à température ambiante ou même froid et donc rafraichissant avec les températures de ces jours derniers.

- 4 à 6 belles pommes    (j’ai marié les variétés) - 1 citron non traité après récolte    (jus de la moitié et zeste entier) - 2 gros œufs - 50 g de sucre semoule - 10 cl de lait - 70 g de farine tamisée - 30 g de beurre fondu - 1 sachet de levure chimique - les grains d’une gousse de vanille - 1 pincée de sel

Peler les pommes, les évider, les couper en quatre puis les détailler en très fines lamelles (avec une mandoline c’est impeccable). Les arroser du jus d’un demi citron, les mélanger délicatement et réserver.

Faire préchauffer le four à 180°.

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot), verser les oeufs et le sucre, battre à vit 4 jusqu’à ce que le mélange mousse et blanchisse.

Ajouter le lait, la farine tamisée, le beurre fondu, la levure chimique, les grains de vanille, la pincée de sel puis le zeste râpé du citron.

Battre à vit 3 pour bien mélanger la pâte.

Ajouter les lamelles de pomme, mélanger le tout bien délicatement à l’aide d’une spatule.

Verser dans un moule beurré et fariné, bien répartir et tassant légèrement et lisser la surface avant d’enfourner pour 30 mn.

Laisser tiédir un moment avant de démouler sur le plat de service.

On peut saupoudrer de sucre glace et servir le gâteau entier ou bien encore découper des petits carrés pour un buffet.



                                        Quelle délicieuse idée !

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Recette relevée sur un magazine tout en patientant dans une salle d’attente !

Facile à réaliser avec des ingrédients basiques, ce gâteau salé est délicieux …  pas eu le temps de prendre une photo dans l’assiette …

- 650 gde courgettes   (ici 3 courgettes moyennes) - 3 gros oeufs - 150 g de lait - 1 sachet de levure chimique - 7 g de sel - curcuma en poudre - 130 g de Gouda - 100 g d’allumettes de bacon fumées

Après avoir lavé les courgettes, les éplucher un trait sur deux à l’aide d’un économe. Ensuite les couper en tranches bien fines (une mandoline est bien utile mais on peut le faire avec un simple couteau aussi bien sûr !).

Dans un grand saladier et au fouet à main, battre les oeufs, le lait, la levure chimique, le sel et le curcuma.

Ajouter les rondelles de courgette, le gouda émincé et les allumettes de bacon.

Bien mélanger l’ensemble et verser dans un plat à gratin (beurré si nécessaire) puis enfourner pour 40 mn dans un four préchauffé à 180°.

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Assiette aussi copieuse que savoureuse et sans aucune difficulté particulière.
Recette relevée cette fois sur mon programme de TV !

Volontairement, je n’indique pas de quantités précises ; à chacun de privilégier l’un ou l’autre des éléments que sont les spaghettis, les fines tranches de lard fumé, les coquilles Saint Jacques ou encore la crème fraîche …

Les spaghettis peuvent être cuits un peu à l’avance et conservés en y ajoutant un filet d’huile afin qu’ils ne collent pas entre eux. Sinon, le reste de la recette s’exécutera au dernier moment.

- spaghettis - coquilles Saint Jacques - fines tranches de lard fumé - crème fraîche liquide - paprika doux en poudre - sel fin et poivre du moulin - crevettes décortiquées (facultatif) - persil

Si les coquilles sont congelées, les mettre au réfrigérateur la veille au soir. Si, comme moi, on oublie … les faire dégeler en les plongeant dans un saladier de lait. Ensuite bien les égoutter et les sécher.

Laisser décongeler les crevettes puis retirer la tête et la carcasse en conservant la queue. Déposer sur un papier absorbant, réserver.

Dans une poêle, avec un peu de matière grasse, faire saisir les coquilles de chaque côté puis les laisser cuire doucement juste une minute. Saler et poivrer puis les verser sur une planche pour les couper en carrés

Pendant le découpe des coquilles, on jette les bandes de lard fumé dans la poêle non rincée ; il suffit de deux minutes pour les saisir et les cuire.

Parallèlement, dans une petite casserole, faire chauffer la crème fraîche et le paprika, ajouter le lard et les coquilles découpées et faire réchauffer le tout à petit feu.

Goûter la crème et rectifier l’assaisonnement si nécessaire.

Suivant les indications du sachet, les spaghettis auront donc été cuits soit auparavant soit à l’instant. Selon le cas, les réchauffer ou les égoutter soigneusement. Les répartir dans les assiettes et déposer au centre les coquilles et arroser de crème. Décorer avec les crevettes décortiquées et une pluche de persil !

                                          Simple et bon !

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Voici une délicieuse entrée colorée, fraîche, rapide à exécuter, peu coûteuse …  rien que des qualités.

On peut en user et en abuser, la seule condition est d’aimer la betterave rouge et dans ce cas vous ferez des heureux, c’est vraiment excellent et ça fait son petit effet ! on peut présenter à l’assiette avec des crevettes par exemple ou encore en plat convivial avec quelques feuilles vertes.

Je ne précise pas les quantités ; voyez la photo des ingrédients et adaptez selon le diamètre de l’emporte pièce choisi.

- betteraves rouges cuites - Saint Môret nature - ciboulette ou persil ciselé   (ou les deux) - échalote - cerneaux de noix - sel fin et poivre du moulin

A l’aide d’une mandoline (les tranches seront bien régulières), couper les betteraves en tranches de 3 mm environ ; prévoir 4 tranches par mille-feuille. Y incruster l’emporte pièce choisi.

Dans un saladier, mélanger le Saint Môret, les herbes finement ciselées, de l’échalote finement émincée, des cerneaux de noix grossièrement écrasée. Goûter afin d’ajuster l’assaisonnement en salant et en poivrant.

Procéder au montage ; une rondelle de betterave puis une couche de préparation au Saint Môret. Recommencer deux fois et finir par une rondelle de betterave.



                                        Bonne dégustation !

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Le lapin à l’estragon, c’est hum !!!!!  j’adoooore …… l’estragon est joli au jardin, c’est le moment d’en profiter.

Facile à réaliser, peut se faire à l’avance sauf l’ajout de la crème fraîche et du jaune d’oeuf. On l’accompagnera de pommes de terre cuites à la vapeur par exemple ou de tagliatelles.

Si le lapin est entier il faudra le découper  ; une vidéo de 2 mn vous montrera comment faire bien mieux que de longues explications (jeter la tête), cliquez sur le lien ci-dessous :

https://www.youtube.com/watch?v=Mw0GwPo8WZc

Faire revenir les morceaux de lapin dans une sauteuse avec moitié huile / moitié beurre, réserver.

Faire dorer légèrement les échalotes émincées puis à la fin la gousse d’ail émincée. Ajouter les morceaux de lapin dorés.

Placer quelques instants le petit verre de Cognac au four m.o. (ou faire chauffer dans une petite casserole) puis verser sur le lapin et faire flamber en craquant une allumette (attention, bien éteindre la hotte auparavant !).

Verser le vin blanc sec, l’eau, 80% du bouquet de l’estragon en branches, deux feuilles de laurier et du thym puis saler et poivrer. Porter à peine à ébullition et laisser cuire jusqu’à ce que la viande soit tendre.

Pendant ce temps, émincer les champignons et les faire suer dans une poêle à sec, jeter le jus rendu s’il y en a trop. Ensuite, ajouter un peu de beurre et faire dorer puis cuire les champignons salés et poivrés.

Dans un petit saladier, mélanger la crème fraîche avec le reste de l’estragon finement ciselé. Saler et poivrer.

Une fois le lapin cuit, retirer les branches d’estragon, ajouter les champignons et laisser mijoter tout tout doucement une dizaine de minutes.

Au moment de servir, incorporer la crème fraîche, réchauffer mais sans faire bouillir puis ajouter le jaune d’oeuf en tournant pour qu’il ne cuise pas.





        C’est prêt ! 

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Cette recette, vue sur Le journal des femmes, a retenu mon attention …  un petit déjeuner gourmand avec de véritables muffins anglais et une délicieuse confiture d’orange ( dont je vous rappelle ma super recette ici !) ou bien encore un petit encas salé avec un oeuf au plat, du fromage fondu et une tranche de bacon …. dans tous les cas, les couper en deux horizontalement et les passer au grille pain avant de les garnir.


Sont-ce ceux là même que Bree Van de Kamp offrait régulièrement à ses nouveaux voisins de Wisteria lane  ??? 

- 250 g de farine T45 - 1 cuiller à café de sucre semoule - 1/2 cuiller à café de sel fin - 160 g de lait à peine tiède - 5 g de levure bruggeman - 40 g de beurre pommade - semoule de blé fine

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot) mettre la farine, le sucre, le sel et le lait.

Installer le crochet, ajouter la levure et pétrir 10 mn à vit. 1, laisser poser pendant 10 mn.

Ajouter le beurre pommade puis pétrir à nouveau 10 mn à vit. 1.

On obtient une jolie boule de pâte qui ne colle pas.

Couvrir le bol d’un torchon et laisser pousser la pâte pendant environ 1 heure, elle doit doubler de volume.

Fleurer une feuille roulpat (ou papier cuisson ou plan de travail) et étaler la pâte sur une épaisseur d’un bon centimètre.

Découper les muffins à l’aide de l’emporte pièce choisi.

Verser la semoule fine de blé dans une soucoupe et y poser les muffins de chaque côté pour qu’ils en soient bien enrobés. Les reposer sur la feuille roulpat, les couvrir d’un torchon et laisser à nouveau lever pendant environ 1 heure, ils doivent doubler de volume.

Dans une poêle chaude (pas brûlante surtout) anti adhésive et sans matière grasse, les faire cuire à feu doux pendant 5 à 8 mn de chaque côté, ils doivent être juste dorés.

Ils se conserveront juste deux jours dans une boîte. Sinon, ils se congèlent parfaitement (congelés déjà coupés en deux, ils seront prêts à passer au grille pain directement à la sortie du congélateur).

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