Martine bichonne son Menu

Je vous propose aujourd’hui une idée pour changer un peu du traditionnel “poulet, pommes de terre sautées”.

C’est vite mis en oeuvre, juste le temps de laisser cuire et hop c’est prêt !

Je vous assure que c’est vraiment très bon, ça change !

Pour deux convives : - 2 jolies cuisses de poulet - 3 pommes du ciel - 4 à 5 pommes de terre - crème fraîche - curry en poudre - sel fin et poivre du moulin

Dans  une sauteuse et avec une huile d’olive de qualité, faire revenir les cuisses de poulet (je retire toujours toute la peau) de toutes parts ainsi que les pommes de terre coupées en morceaux. Saler, poivrer, couvrir à demi et laisser cuire presque totalement (en gros 25 mn).

Ajouter alors les pommes épluchées, évidées et coupées en quatre. Couvrir à demi et laisser cuire une dizaine de minutes à peu près.

Dans un petit bol, verser la crème fraîche (quantité à votre goût), saler, poivrer, ajouter du curry en poudre (facultatif et quantité également à votre goût), bien mélanger et verser sur les pommes et le poulet.

Faire réchauffer la sauce obtenue et servir sans tarder dans des assiettes chaudes de préférence.

C’est juste excellent !

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C’est en été et au début de l’automne que l’on récolte le céleri-branche, même si maintenant on en trouve en toutes saisons.

Il parfume délicieusement les bouillons, les soupes, les salades, les courts-bouillons, le jus de tomate et peut se consommer cru ou cuit. Il est très très peu calorique et excellent pour notre santé.

Généralement on n’utilise que les tiges et on jette souvent les feuilles ; quand j’en mets dans la soupe, je mets tiges et feuilles. Je le conserve en petits tronçons au congélateur mais on peut aussi faire sécher les feuilles et en avoir ainsi toujours sous la main.

- 1 joli pied de céleri-branche, c’est tout !

Retirer les feuilles bien vertes du céleri, jeter celles qui sont abîmées et bien les laver avant de les passer à l’essoreuse à salade puis dans un torchon (propre) afin de les sécher au mieux.  Les tiges seront cuisinées en gratin ou braisées …

Les répartir au mieux sur deux plaques et les enfourner dans un four préchauffé à 85° pour environ 1 h 30 mn, la maison est toute parfumée, un délice quand on aime !

Après un quart d’heure, ouvrir la porte du four pour que l’humidité s’échappe et essuyer la porte du four s’il y a de l’eau. Surveiller et répéter l’opération s’il y a lieu.

Une fois les feuilles bien sèches, les laisser refroidir avant de les émietter en les frottant entre les mains. Ensuite passer dans une passoire pour retirer les petites branches. Verser dans un petit bocal, fermer et ne pas oublier d’en parfumer vos plats à la première occasion !

Pour faire du sel de céleri, mettre dans un bocal : - 1 volume de feuilles séchées et émiettées plus - 1,5 volume de sel

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Recette tout simplement trouvée sur la boîte de lait concentré !

Je l’ai qualifiée de “gourmande” car c’est vraiment le cas, belle épaisseur pour cette tarte un peu riche mais dont la durée de vie sera extrêmement limitée ….  pour faciliter le démoulage (un peu délicat du fait justement du poids de la préparation) il sera bon de glisser un papier cuisson sous la pâte.

- 1 pâte feuilletée, recette maison Ici - 200 g de sucre semoule - 150 g de compote de pommes, recette maison Ici - 4 gros oeufs - 1 boîte de 410 g de lcns (lait concentré non sucré) - 3 belles pommes - 1/2 c. café de cannelle en poudre - gelée de pomme pour la dorure, recette maison Ici

Etaler la pâte (recette maison pâte feuilletage inversé Ici), en garnir le moule, la piquer à la fourchette puis réserver au réfrigérateur.

Peler, évider et découper finement les pommes.

Dans un grand saladier, verser l’ensemble des autres ingrédients et bien mélanger puis couler sur le fond de tarte. Répartir ensuite les lamelles de pommes et enfourner pour 30 mn (position “tartes”) à 210° puis poursuivre pendant 10 à 15 mn à 180°. Vérifier la bonne cuisson du centre à  l’aide d’une pointe de couteau (le temps de cuisson est à adapter à chaque four). 

Lorsque la tarte est encore tiède, faire fondre à feu très doux, une cuiller à soupe de gelée de pommes (recette maison Ici) additionnée d’une cuiller à café d’eau puis passer ce mélange sur la tarte à l’aide d’un pinceau, elle aura un joli et bon brillant  !

Je ne suis pas du tout fan de la cannelle, c’est pourquoi je n’en ai mis qu’1/2 cuiller à café et finalement, pour moi, c’était discret juste comme il faut. Il est bien sûr aisé d’augmenter, voire de doubler la dose si on l’apprécie particulièrement.

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C’est la pleine saison ; les coquilles de la baie de Saint Brieuc sont les meilleures, elles sont très appréciées !

Les miennes viennent bien de là mais ont été congelées par Monsieur Picard, ce qui leur ôte hélas une partie de sublimité    mais on va s’en contenter !

Petite recette relevée sur mon programme de télé.

Ce plat peut être proposé en entrée ou en plat principal selon la taille du feuilleté et le nombre de coquilles, je n’indique donc volontairement pas de quantité précise pour chaque ingrédient.

- noix de Saint Jacques - pâte feuilletée  (recette maison Ici très recommandée !) - huile d’olive - feuilles de thym séchées - 1 jaune d’oeuf - piment d’Espelette en poudre - sel fin et poivre du moulin

Deux heures avant le repas, verser environ 2 cuillers à café d’huile d’olive par personne dans une tasse. Saler, poivrer, ajouter du thym et laisser infuser.

Etaler la pâte et découper les formes choisies, replacer au réfrigérateur pour une quinzaine de minutes.

Faire préchauffer le four à 200°.

Dans un petit récipient, batte à la fourchette le jaune d’oeuf avec un trait d’huile d’olive et un peu de piment d’Espelette.

Avant d’enfourner les ronds de pâte, les badigeonner de ce mélange à l’aide d’un pinceau.

Enfourner pour une dizaine de minutes (ajuster en fonction de la taille). Réserver au chaud.

Au moment de déguster, faire chauffer un peu d’huile parfumée au thym dans une poêle et y faire dorer les noix de Saint Jacques 1 mn de chaque côté puis doucement pendant 2 ou 3 mn (toujours selon la taille). Saler et poivrer.

Sortir les ronds de pâte du four, les couper en deux dans l’épaisseur. Sur les fonds, répartir l’huile parfumée et déposer le nombre de noix choisi avant de recouvrir avec les couvercles.

Servir immédiatement !

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C’est la première fois que je cuisine le haut de cuisse de dinde. Si vous aimez les plats très goûteux et bien relevés, cette recette ne vous conviendra pas. C’est bon mais ça reste néanmoins pâle en goût, la moutarde est bienvenue !

On pourra conserver le bouillon de cuisson comme tout bouillon de volaille en le stockant au congélateur dans des pots à confiture par exemple.

- 1 haut de cuisse de dinde de 900 g environ - 1 gros oignon piqué de 2 clous de girofle - 1 belles gousses d’ail - 1 chou vert frisé - 5 à 6 carottes - 1 ou 2 navets - 4 à 5 pommes de terre - 2 feuilles de laurier - 1 cuiller à café de thym émietté - sel fin et poivre du moulin

Le plus long bien sûr est de préparer le chou : détacher les feuilles, retirer les côtes blanches, bien laver le tout et le plonger pour 3 à 4 mn (après reprise de l’ébullition) dans un grand volume d’eau salée. Egoutter de suite.

Retirer la peau et le gras éventuel de la viande.

Dans la cuve de la mijoteuse, déposer le chou puis la viande et les légumes autour (sauf les pommes de terre). Ajouter le laurier, le thym, saler et poivrer. Fermer le couvercle et programmer pour 7 h en fonction low (sans ajout de liquide).

Les pommes de terre pourront être ajoutées 3 heures avant la fin de la cuisson ou bien encore cuites à la vapeur au dernier moment.

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Addiction garantie … à ne pas mettre entre toutes les mains !

C’est une recette simplissime de l’espace Thermomix que j’ai un peu modifiée.

Qui plus est, on a souvent tout ce qu’il faut dans les placards … 
                                                      
alors on peut se faire plaisir très très vite …

Pour un pot à confiture bien plein : - 260 g de spéculoos - 210 g de lait concentré non sucré - 2 cuillers à café rases de miel

Dans le bol du Thermomix (ou de tout autre robot), mixer les spéculoos pendant 10 sec à vit 9. Réserver dans un autre récipient.

Sans le rincer, mettre ensuite le lait et le miel dans le bol et programmer 7 mn 90° à vit 1.

Ajouter la poudre de spéculoos et mixer pendant 30 sec à vit 6.

Verser de suite dans un pot à confiture. Laisser refroidir avant de déguster !

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Un grand merci à mon gentil voisin qui m’a conseillé de faire cuire cette jolie queue de lotte comme un rôti de boeuf ... excellente idée, c’est très vite fait et délicieux et puis aussi sans aucune odeur dans la maison, idée à retenir !

Pour deux jolies parts : - 1 queue de lotte de 7 à 800 g (poids brut) - gousses d’ail - sel fin et poivre du moulin - huile d’olive

Il est très important de bien retirer toutes les peaux de la lotte. Le poissonnier se chargera de la peau brune et des nageoires mais il faut absolument affiner et éliminant toutes les fines peaux blanches et membranes transparentes. Si on en laisse une seule, elle se rétractera à la cuisson et la chair sera comprimée.

Ensuite, rincer et bien essuyer la queue de lotte.

La piquer généreusement de petites gousses d’ail avant de la ficeler comme un rôti.

La déposer dans un plat à four adapté quant à la taille, saler, poivrer et couler un joli filet d’huile d’olive.

Au dernier moment, faire préchauffer le four à 185° et enfourner pour 15 à 20 mn. La lotte ne doit surtout pas être trop cuite. A mi-cuisson, retourner et arroser. Laisser reposer quelques minutes avant de découper en tranches et servir (assiettes chaudes de préférence) avec de pommes de terre vapeur par exemple.


                                              Un régal !

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C’est tout simplement la version “chocolat” du flamby vanille que je proposais Ici.

Très vite fait, frais et léger, c’est un petit dessert sans prétention mais bien sympa !

- 500 g de lait demi-écrémé - 6 g d’hermesetas (ou 60 g de sucre semoule) - 1,5 g d’agar agar (pas plus) - 60 g de cacao - caramel liquide(facultatif)

Avec Thermomix :

Mettre tous les ingrédients sauf l’hermesetas dans le bol et programmer 10 mn à 100° à vit. 3. Une fois les 100° atteints, il faut mettre le temps restant à 1 mn 30.


Sans Thermomix :

Dans une casserole, verser le lait, le cacao et l’agar-agar, porter à ébullition et prolonger celle-ci pendant 1 mn 30 sec. sans cesser de remuer.

Dans les deux cas :  ajouter alors l’hermesetas, mélanger puis verser dans les moules choisis dans le fond desquels on verse du caramel liquide (facultatif).

Laisser refroidir avant de réfrigérer pour au moins 3 ou 4 heures.

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Croustillants sur les bords et légèrement plus tendres au centre, ces petits biscuits sont fameux !  merci, cette fois encore, à ma copinaute Christalie qui en a donné la recette.

Ils se conserveront quelques jours dans une boîte métallique ou encore au congélateur pour les avoir sous la main en cas de pénurie de gâteaux secs ….

Pour 30 à 40 biscuits : - 50 g de raisins secs - rhum et thé infusé - 125 g de beurre   (température ambiante) - 125 g de sucre semoule - 150 g de farine T45 - 2 gros oeufs

Deux heures avant, sortir le beurre du réfrigérateur. Rincer les raisins secs, les essuyer puis les faire macérer dans un peu de rhum additionné de thé (juste couverts).

Dans le bol du robot équipé de la feuille (fouet triangulaire plat), battre le beurre et le sucre pendant 2 mn à vit 4.

Ajouter les oeufs et la farine tamisée et battre 1 mn à vit 4.

Faire préchauffer le four à 180°.

Dresser des petits tas de pâte sur une feuille silicone ou une silpat ou encore du papier sulfurisé (j’ai utilisé une poche à douille). La pâte va s’étaler à la chaleur, ne pas serrer ; il faudra faire la cuisson en trois fois.

Bien égoutter les raisins et en poser 3 ou 4 sur chaque palet.

Enfourner pour 10 à 12 mn, les bords doivent juste dorer. Laisser refroidir à la sortie du four avant d’y goûter ….

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Il existe une multitude de recettes de pâte à pizza ; celle-ci (pour deux pizzas) s’adapte tout particulièrement au robot Kitchenaid mais peut être bien évidemment réalisée dans tout autre robot ou même à la main 

Dans le bol du robot, verser la farine, le sel, le sucre et la levure puis mélanger à l’aide d’un fouet à main. Installer la spirale (ou le crochet) et commencer à pétrir en vitesse 1 tout en ajoutant doucement l’eau puis l’huile. Ajuster avec une goutte d’eau supplémentaire ou une cuiller à café de farine selon l’aspect de la pâte et pétrir pendant 1 mn à vitesse 1. La pâte est homogène et ne colle pas. La déposer dans un grand saladier légèrement fariné, couvrir et placer au réfrigérateur pour la nuit. Le lendemain, la pâte est bien gonflée, la déposer sur le plan de travail fariné et la dégazer en lui redonnant de la vigueur. Découper le pâton en deux puis étaler et garnir selon la recette choisie.

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Cette appellation est en fait un pléonasme puisque “dahl” ou “dal” signifie “lentille” !

Faute d’aller en Inde le déguster, je le cuisine (à ma façon) de temps à autre, les lentilles sont excellentes pour notre santé, il ne faut pas s’en priver surtout 

Pour 4 à 6 personnes: - 350 g de lentilles corail - 1  gros oignon - 2 cuillers à soupe de concentré de tomate - 1 jolie gousse d'ail - 20 cl de lait de coco - 1 cuiller à soupe de curcuma en poudre - 1 cuiller à café de gingembre en poudre - 1/2 cuiller à café de paprika doux - 1/4 cuiller à café de cumin en poudre - 1 pointe de piment de Cayenne en poudre - sel fin et poivre du moulin

 

Dans une passoire, rincer les lentilles à l’eau froide puis les faire cuire pendant 18 à 20 mn dans une grande quantité d’eau bouillante salée, égoutter soigneusement.

Dans une cocotte, faire chauffer un peu d’huile d’olive et y faire revenir puis fondre doucement l’oignon finement ciselé.

Verser ensuite la tomate, l’ail écrasé, et les épices, bien mélanger avant d’ajouter les lentilles égouttées.

Bien mélanger à nouveau puis verser le lait de coco jusqu’à obtenir la consistance désirée (+ ou – 20 cl).

Goutter et rectifier l’assaisonnement sel si nécessaire, maintenir au chaud jusqu’au moment de servir, quelques feuilles de coriandre si vous avez

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Je pioche parfois sur le post des défis du mois de Supertoinette et là c’est un gâteau proposé par titbebete qui m’a fait très envie, nous avons un grand faible pour la patate douce 

C’est assez vite réalisé (avec le Thermomix ou tout autre robot), il faut adapter les quantités des ingrédients au poids de la patate douce, ça se conserve aisément deux jours et c’est hum ….

- 1 patate douce de 675 g    (donne 625 g de chair environ) - 2 gros oeufs - 100 g de sucre semoule - 2 sachets de sucre vanillé - 1 petite cuiller à caféd’extrait de vanille - 15 g de rhum - 65 g de beurre fondu

Eplucher la patate douce et la couper en cubes. Les faire cuire à la vapeur (c’est selon le mode de cuisson vapeur choisi ; pour moi c’est une dizaine de minutes au four Whirpool JT369).

Dans le bol du Thermomix, mettre les oeufs, les sucres et l’extrait de vanille et programmer pour 5 mn, 37° à vit. 3.

Ajouter les patates douces cuites et bien égouttées, mixer 15 sec. à vit 5.

Verser le beurre fondu et le rhum, mixer à nouveau 5 sec. à vit 5.

Couler la préparation dans le moule choisi et strier le dessus à la fourchette (c’est pour une jolie présentation dans ce sens mais au final je l’ai retourné !).

Enfourner pour 50 mn dans un four préchauffé à 180°

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Dans le Pie & Co, premier essai de cuisson de pâte feuilletée (congelée) dont vous trouverez Ici la recette ; essai transformé

Le tout a été fait en quelques minutes puisque j’ai utilisé des moules congelées (cuisson ici), des crevettes cuites congelées, un petit bocal de sauce béchamel congelée (recette ici) et une petit boîte de champignons. C’est on ne peut plus simple et vraiment très bon puisque tout est '”fait maison”.

- 1 pâte feuilletée - 20 moules cuites à la marinière (environ) - 8 à 12 crevettes (selon la taille) - 4 cuillers à soupe de sauce béchamel - 1 petite boîte de champignons de Paris

Etaler finement la pâte et découper les empreintes du fond puis les disposer dans l’appareil. Dans un saladier, mélanger délicatement l’ensemble des ingrédients (bien essorer les champignons), rectifier l’assaisonnement si nécessaire et répartir dans les empreintes. Découper les couvercles de pâte. Les poser sur les empreintes et souder les bords en y passant un pinceau mouillé avant d’appuyer légèrement avec le doigt, fermer le couvercle de l’appareil. Le brancher, laisser cuire environ 6 à 8 minutes puis le retourner (attention, mettre des gants, l’appareil est très chaud) pour que les couvercles de pâte soient bien gonflés et dorés. Laisser cuire ainsi à nouveau 6 à 8 minutes. Démouler et servir sans tarder !

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Un petit stock de galettes de blé noir (ou galettes à la farine de sarrasin) et j’imagine un gâteau avec ce que je vois dans mon réfrigérateur.

Bien joué, c’était réussi et pour le moins original, à refaire donc !

Les galettes étaient stockées au congélateur.

Lorsque je cuisine des moules à la marinière (ici), j’en décoquille la valeur d’un pot à confiture et je congèle pour une sauce ou .... un joli gâteau de galettes !

Dans un petit bol, couler de la crème fraîche, ciseler finement un bouquet de ciboulette, saler très légèrement, poivrer et ajouter une pincée de piment d’Espelette en poudre.  Bien mélanger le tout.

Choisir un plat allant au four (bords un peu hauts) qui soit d’un diamètre proche de celui des galettes.

Mettre au fond deux galettes puis des lentilles, une tranche de saumon, quelques moules et deux belles cuillers de crème épicée. Couvrir d’une crêpe puis recommencer en finissant par une ou deux crêpes et un filet de crème sur le dessus.

Enfourner pour 15 à 20 mn dans un four préchauffé à 180° ; il ne faut pas cuire (surtout pour retrouver le saumon fumé tel quel), juste réchauffer l’ensemble et servir de suite ; ça se tient bien  et c’est super bon

Accompagner d’une salade verte avec une vinaigrette à l’huile de noix et une échalote ciselée.



                                 Un petit coucou à mes ami(e)s breton(ne)s !

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Juste à l’instant où je me documentais pour faire un bon pain de mie, Valérie, du blog “C’est ma fournée” publiait cette méthode originale que je vous propose à mon tour.

Venue de Chine, elle est très simple à mettre en oeuvre et donne un pain très moelleux.

On peut l’appliquer à toutes les pâtes levées en faisant chauffer l’eau à 65° avec 20% de son poids en farine ; la mixture obtenue (consistance d’un roux) s’appelle le tang zhong. Ce procédé développe considérablement le gluten et la pâte lève bien mieux. 

Il est préférable de le faire la veille au soir et de lui faire passer la nuit, filmé au contact, au réfrigérateur.

J’ai conservé ce pain de mie deux jours bien à l’abri dans un sac plastique zippé. Même s’il est meilleur frais, il se conserve assez bien.

On peut découper en tranches et congeler. Ensuite, directement au grille pain et bien surveiller !

Voici comment j’ai procédé :

Dans une petite casserole, mélanger, à l’aide d’un fouet à main :

Le tang zhong : ** - 20g de farine T 45 - 100g d'eau

mettre sur le feu et porter à 65° tout en tournant en permanence.

Le mélange va épaissir et prendre la consistance d’une crème épaisse. Couvrir et réfrigérer.

** Le tang zhong se fait la veille au soir mais, en cas d’oubli, il peut se faire aussi juste
     quelques heures à l’avance (6 heures au moins) ; le résultat sera très honorable.
     Dans ce cas, le conserver à température ambiante.

La pâte : - 5g de levure sèche   (Bruggeman par exemple) - 110g de lait demi-écrémé - 350g de farine T 45 - 5g de sel fin - 50g de sucre semoule - 7g de lait entier en poudre (facultatif) - 1 gros oeuf - 30g de beurre bien mou - 100g de tang zhong

Le matin, penser à sortir le tang zhong du réfrigérateur pour qu’il reprenne la température ambiante.

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot), faire fondre la levure dans le lait tiédi.

Ajouter ensuite la farine, le sel, le sucre, le lait en poudre, l’oeuf, le beurre et, pour finir, 100 g de tang zhong.

Fixer le crochet pétrisseur et lancer pour 10 mn à vit 1.

Rassembler la pâte (collante), couvrir d’un linge humide et mettre à lever dans le four en position étuve.

Comme toujours le temps de levée sera variable en fonction de bien des facteurs mais il faut que la pâte ait doublé de volume (compter entre 1 h 30 et 3 h), elle est remplie de bulles d’air.

La peser afin de la diviser en 4 pâtons d’égale grosseur (fariner le plan de travail et les mains car la pâte colle).

Ensuite, pour chaque pâton :

- étaler d’une forme rectangulaire,
- plier en trois,
- pivoter d’un quart de tour ,
- étaler de nouveau en rectangle,
- rouler la pâte

Déposer ces rouleaux de pâte dans un moule à cake (ici longueur 27 cm, largeur 11 cm).

Sans couvrir, remettre à lever dans le four en fonction étuve (environ 1 h).

Lorsque la pâte est bien gonflée, passer un peu de lait tiédi à l’aide d’un pinceau puis enfourner pour 45 mn dans un four préchauffé à 150°.

Ici la dorure est faite au lait mais on peut la faire avec un jaune d’oeuf. Pour un pain de mie destiné à un croque monsieur salé par exemple, il conviendra de diminuer la quantité de sucre. Ici, ce pain de mie ressemble à une brioche sucrée. On peut modeler en formes différentes voire individuelles et les parsemer de sucre en grain ou de pépites de chocolat.

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Me croirez-vous si je vous dis que c’est excellent ? j’espère bien !

Le Thermomix est le roi de la sauce légère. Ici très très peu de matière grasse et une sauce onctueuse grâce à la courgette mixée et relevée par le chorizo.

- 1 joli dos de cabillaud - 1 gros oignon - 1 belle gousse d’ail - 1 cuiller à soupe d’huile - 150 g de vin blanc sec - 150 g d’eau - 10 cm de chorizo (doux ou fort selon les goûts) - 1 jolie courgette ou 2 petites - 2 carottes  (en fines rondelles) - 1 morceau de patate douce (en cubes) - 4 à 6 pommes de terre (en cubes) - 80 g de crème fraîche liquide - sel fin et poivre du moulin

Préparer les carottes, la patate douce et les pommes de terre comme indiqué ci-dessus. Les verser dans cet ordre dans le panier cuisson.

Peler la courgette, la couper en quatre, retirer les graines puis découper en gros dés ; une moitié ira dans le bol pour faire le liant de la sauce, l’autre moitié est à déposer dans le fond du varoma.

Rincer le dos de cabillaud, l’essuyer puis le couper en morceaux. Le déposer dans le plateau du varoma en glissant un papier cuisson dessous (évite un nettoyage très fastidieux du plateau), saler, poivrer.

Dans le bol du Thermomix, mettre l’oignon coupé en 4 et la gousse d’ail, mixer 5 sec à vit 5, rabattre à l’aide de la spatule.

Ajouter l’huile et programmer 4 mn, 100° à vit 2.

Verser le vin blanc, l’eau, les rondelles de chorizo, la moitié des dés de courgette, du sel, du poivre.

Poser le panier cuisson dans le bol, fermer le couvercle et ajouter le varoma et son plateau vapeur. Programmer pour 25 mn, temp. varoma, vit 2.

A l’arrêt de la minuterie, vérifier la bonne cuisson de l’ensemble.

Retirer le panier cuisson et réserver avec le varoma complet.

Mixer 1 mn à vit 9 puis verser la crème fraîche par l’orifice du couvercle et lancer pour 1 mn, 90° à vit 2.

Servir sans tarder (assiettes chaudes de préférence)  !

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Certes, il ne faut pas s’y prendre au dernier moment mais une fois le poulet au four il n’y a pas à surveiller, ceci compense cela … nous apprécions vraiment cette cuisson douce qui ne sèche pas la chair, essayez vous aimerez à coup sûr    il est accompagné de “quinoa aux carottes”, recette Ici.

Donc, pour pouvoir servir ce poulet à 12 h 30 par exemple, il faudra l’enfourner à 9 h 30 !

Parer le poulet, le farcir d’un joli bouquet d’estragon frais, saler, poivrer et enfourner à four préchauffé à 120° pour 2 h 30 mn.

A cette issue, sortir le poulet, ajouter un petit verre d’eau pour déglacer les sucs, monter la température du four à 190° (j’utilise la fonction “rôtisserie”), mettre le poulet sur le ventre et enfourner pour 30 mn en le remettant sur le dos après 15 mn.

                                                           Découper et servir !

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Merci à Josette qui nous a proposé ce petit dessert ; la semoule évoque de suite les souvenirs d’enfance    l’acidité des framboises donne de l’équilibre et nous nous sommes régalés.

- 500 g de lait demi-écrémé - 65 g de semoule fine - 4 gros œufs - 35 g de sucre semoule - 10 g de maïzena - 15 g d’arôme vanille liquide - 10 framboises congelées par ramequin - un peu de cassonade

Faire préchauffer le four à 180°C. Dans une petite casserole, porter le lait à ébullition. Y jeter la semoule en pluie, ajouter la vanille liquide et faire cuire à petits bouillons pendant 5 mn sans cesser de remuer. Arrêter la cuisson. Dans un bol, battre les œufs entiers avec le sucre puis ajouter la maïzena. Verser ce mélange dans la casserole et mélanger de suite à l’aide d’un fouet à main. Répartir la préparation dans les ramequins puis ajouter les framboises encore congelées en les enfonçant légèrement. Saupoudrer de cassonade et enfourner pour 15 mn. Laisser refroidir avant de réfrigérer en attendant l’heure du dessert !

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Avec mon amie Christalie, nous avons fait l'expérience du mini pâté croûte, chacune de notre côté, à notre idée, vous trouverez ici sa version très alléchante à base de canard ...

Nous y voilà ! pour l’apéritif ou en composition dans une entrée, il fera merveille !

On peut varier les viandes, partir sur du gibier, ajouter des noisettes ou des pistaches etc … un autre jour, je vous proposerai un pâté au poisson !

Il n’y a aucune difficulté particulière si ce n’est de glisser correctement la pâte dans un moule étroit et haut.

Il est conseillé de ne le déguster qu'après 24 heures !!!

J’ai choisi ce moule : 30 cm de long, 4 cm de largeur et 6 cm de hauteur. Ma recette correspond à un pâté dans ce moule.

Réaliser la pâte 24 à 48 heures à l’avance et la conserver au réfrigérateur.

Dans un saladier, mélanger intimement la farce, l’oeuf, le Cognac, le 4 épices, sel et poivre.

Découper en fines lanières le poulet, je jambon et l’échine de porc.

Pour installer la pâte dans le moule :

Découper un papier cuisson de la forme ci-dessous (conserver ce gabarit pour une prochaine fois).

Donner au pâton la forme d’un boudin avant de l’étaler à la dimension du papier cuisson  puis découper la pâte en laissant un centimètre tout autour (conserver les chutes pour le chapeau).

Rabattre les quatre côtés les uns sur les autres et déposer délicatement l’ensemble dans le mini moule à pâté croûte avant de déplier le tout à l’intérieur.

Il faut bien assembler les angles et ne pas percer la pâte sinon la gelée s’écoulera à l’extérieur ! (pour bien souder les angles, j’ai utilisé le manche en bois d’un couteau pointu).

La pâte doit dépasser d’un petit centimètre tout autour.

Rassembler les découpes et étaler pour obtenir le chapeau du pâté (32 cm x 6 cm).

Garnir le moule :


Bien tasser les couches au fur et à mesure, ne pas laisser de trou.

Au fond, étaler un tiers du mélange de farce, soit 120 g environ.

Répartir ensuite une couche de fines lanières des viandes et jambon.

Puis une couche d’environ 120 g de farce.

Une deuxième couche de fines lanières de viandes et jambon.

Enfin, le reste de la farce.

Fermer le pâté :


Déposer le chapeau de pâte.

Pincer ensemble la pâte du chapeau et le débord de la base puis rabattre ce bourrelet vers l’intérieur.

Faire deux cheminées avec la pointe d’un couteau et y glisser un papier d’aluminium doublé et roulé sur lui-même.

Décorer avec la pointe d’un couteau.

A l’aide d’un pinceau, passer du jaune d’oeuf délayé dans un demi-doigt de lait.

Cuire le pâté :


Conserver le pâté au frais pendant le préchauffage du four.

Préchauffer le four à 190°.

Poser le moule garni du pâté sur une feuille de cuisson (il peut y avoir des fuites …) puis sur une plaque de cuisson perforée et enfourner pour 40 mn (retourner le moule à mi cuisson pour que les deux côtés intérieurs soient bien dorés).

Et la finition :


Une fois le pâté sorti du four, le laisser un peu refroidir puis le démouler et le déposer sur une grille en hauteur.

Lorsqu’il est froid, préparer la gelée selon les instructions du paquet et, à l’aide d’un entonnoir, la verser dans les deux cheminées jusqu’à remplir le pâté ; s’il y a des trous dans la pâte c’est à ce moment là que les ennuis commencent car la gelée s’échappe  !

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Vous trouverez ICI mon "Pâté en croûte cocktail" réalisé avec cette pâte.

C’est hyper facile, à faire avec un robot ou à la main avec un peu plus de courage !

- 500 g de farine T 45 - 250 g de beurre bien mou - 1 gros oeuf - 140g d’eau tiède - 6 g de sel fin

Dans le bol du robot, verser la farine, le beurre bien mou en petits morceaux et l’oeuf. Installer le crochet à pétrir et mélanger pendant 1 à 2 mn à vit 2.

Ajouter le verre d’eau tiède dans lequel on aura fait fondre le sel.

Pétrir en vit 1 jusqu’à ce que la pâte se détache bien du bol. Ajouter un tout petit peu d’eau si nécessaire.

On obtient environ 900 g de pâte.

Sortir la pâte, former une boule, couvrir d’un film et réfrigérer pour 24 ou 48 heures.

Il faut choisir une farine de très bonne qualité. Faire la pâte un ou deux jours avant de l’utiliser est toujours recommandé.

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