J’espère que vous avez passé un bon Noël, je vous propose de suite mon entrée d’hier !




    
       N’achetez plus de foie gras tout prêt, assaisonnez le et faites le cuire vous-même,
                                                    suivez moi, c’est enfantin 

Il est encore temps de faire cette recette pour les repas de fin d’année !

Je vous avais proposé en 2010 la cuisson au gros sel. L’an passé je m’étais équipée de toute la panoplie Mastrad spéciale pour foie gras cuit au four avec thermomètre etc … ; échec total ! je ne recommencerai jamais.

On recule souvent devant l’éveinage du foie gras. Mon conseil est de l’acheter (chez Picard par exemple même si l’éveinage n’est pas parfait) congelé en novembre (30% moins cher), mieux vaut en manger peu mais de bonne qualité, le foie gras ne supporte pas l’à peu près. Prendre donc un foie gras cru, non assaisonné et éveiné. 

Cette année j’ai testé une cuisson à l’eau tout simplement. C’est vraiment enfantin, à vous de faire votre compte à rebours 

Il était au menu du 25 décembre à midi, voici donc le déroulement de la recette :

- 19 décembre au coucher ; sortir le foie du congélateur et le placer au réfrigérateur en le laissant dans la poche plastique sous vide,

- 20 décembre dans l’après-midi ; assaisonner le foie gras, filmer et replacer au réfrigérateur,

dans son emballage d’origine	ouvert et assaisonné
refermé après assaisonnement	couvert d’un film pour une nuit

- 21 décembre matin ; sortir le foie du réfrigérateur et le laisser reprendre la température ambiante puis le rouler bien serré dans du film (spécial micro-ondes) en façonnant un boudin d’environ 6 cm de diamètre que l’on ferme de chaque côté par des noeuds bien serrés. Afin de rendre le boudin bien hermétique, reproduire l’opération 5 fois en faisant un noeud aux extrémités à chaque couche de film.

déposé sur un film	roulé dans un premier film
roulé dans 5 épaisseurs de film	sorti de l’eau après cuisson

Pendant ce temps, remplir une casserole d’eau et la porter à 90°C ou 95°C si le boudin de foie est vraiment important en diamètre (la casserole doit avoir un diamètre suffisant pour recueillir le boudin de foie correctement, sans le comprimer).

Arrêter le feu et immerger le boudin de foie gras, l’obliger à rester sous l’eau en posant dessus l’objet de votre choix (je conseille de faire un essai à froid pour être bien au point le moment voulu). Couvrir et laisser ainsi refroidir totalement avant de le sortir de l’eau pour le replacer au réfrigérateur (il est tout mou, c’est normal).

Le matin de la dégustation, retirer les couches de film. Mon foie n’a pas rejeté une once de graisse, il était cuit et moelleux. Nous l’avons goûté le 24 mais il était encore meilleur le 25 !

De nombreux accompagnements sont proposés avec le foie gras.

Quand il est vraiment bon, je le déguste “nature” et sans pain mais j’aime aussi avec quelques fleurs de sel et des fois une tranche de pain de campagne grillé (pas de pain de mie surtout), mais tout est affaire de goûts 

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C’est très au large de Santec que sont pêchés ces jolis tourteaux. Il est habituel de les accompagner de mayonnaise ou de vinaigrette.

J’ai fait cet essai “chaud”, ça change, c’est bon mais ça reste un peu fade à mon goût. Nous avons mangé pates et pinces et j’ai mis dans cette quiche la totalité de la chair issue du corps.

Dans un moule à tarte, étaler la pâte et la piquer. Répartir dessus la chair du crabe.

Dans un saladier, battre les oeufs, le lait, la muscade, le sel et le poivre puis verser dans le moule.

Cuire pendant 40 mn environ dans un four préchauffé à 200°.

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Pas facile de trouver un plat cuit en mijoteuse à lancer le matin à 8 h et qui soit prêt à midi, c’est le cas ici !

Alors, je laisse à chacun(e) le choix des proportions entre la quantité de pommes de terre et le nombre de saucisse(s) …..  adapter le temps de cuisson en cas de surdosage 
 

- pommes de terre épluchées et coupées en rondelles,rincées et bien égouttées
- saucisse de Morteau
- poivre du moulin
- thym

Par précaution, j’ai huilé légèrement la cuve de la mijoteuse, ai déposé les pommes de terre, la saucisse au milieu. Un peu de poivre et de thym puis j’ai lancé pour 4 heures en low.

J’ai jeté un oeil au bout de 2 heures et j’en ai profité pour piquer la saucisse en quelques endroits avec une fourchette.

Voilà, c’est tout et je vous assure que c’est super bon et surtout bien de saison !

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Je remercie Lydie, conseillère Demarle, qui m’a indiqué ce petit truc efficace, hyper simple et très rapide !

Nous n’avons pas tous des moules de cette marque dans nos cuisines, ils sont assez onéreux et se vendent à l’occasion d’un atelier culinaire où l’on met en oeuvre deux ou trois recettes pour justement utiliser le maximum d’accessoires ou de moules en silicone Demarle (je n’ai aucune partenariat).

Lorsqu’ils arrivent ils sont brillants (noir), de vrais miroirs … et, quel dommage, à la première utilisation ils se marquent de taches mates et rien n’y fait, ils sont propres mais ont perdu leur jolie brillance.

Eh bien, j’ai appris qu’il est possible de leur donner un petit coup de jeune !

J’ai essayé de prendre des photos mais pas évident, il y avait trop de soleil    si si !
et pas facile le noir au soleil, ça dénature la couleur mais, en vrai, la différence est vraiment saisissante !

Il suffit de faire chauffer le four à 160°, de glisser à l’intérieur l’empreinte à “rajeunir” et surtout d’éteindre le four. Sortir le moule après 3 à 4 minutes, c’est tout !

Souvent les moules des autres marques sont mats au départ mais, au besoin, le système peut être essayé sans grand risque à mon avis.
 

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Je profite souvent de mes réserves au congélateur pour cuisiner ces petites cocottes.

Les petites moules de bouchot ont été décoquillées et congelées un jour où leur prix était attractif. Le jus de cuisson, filtré et congelé dans un bocal servira à monter la sauce. Des dos de cabillaud et quelques jolies crevettes sont toujours en attente 

- 1 joli dos de cabillaud - moules de bouchot cuites - crevettes roses cuites et décortiquées - 1 boîte de champignons de Paris (moyenne) - le jus de cuisson des moules (filtré) - le jus de la boîte de champignons - 35 g de farine environ - 35 g de beurre environ - poivre du moulin, PAS de sel - 1 petite gousse d’ail émincée

Plonger le dos de cabillaud dans un court bouillon bouillant et couper le feu, couvrir et le laisser cuire ainsi. Ensuite, l’égoutter, l’essuyer et le déchirer grossièrement.

Faire un roux blond : dans une casserole, faire fondre et chauffer le beurre, incorporer la farine, bien imbiber la farine et tourner sans cesse, laisser ainsi cuire tout doux pendant 5 ou 6 minutes pour que la farine cuise.

En ajoutant  progressivement le jus de cuisson des moules, porter à ébullition. On doit obtenir une sauce épaisse, mélanger au fouet à main pour éviter les grumeaux. Ne pas saler, poivrer, ajouter l’ail émincé et laisser cuire tout doux 10 minutes en tournant régulièrement. S’il manque du jus de cuisson des moules, on peut remplacer ou compléter par le jus de la boîte de champignons.

Dans un saladier, rassembler le poisson, les moules, les crevettes et les champignons. Couler la sauce tout en mélangeant délicatement.

Répartir dans les contenants choisis et enfourner pour environ 15 mn dans un four préchauffé à 180°.

Le plat peut être préparé la veille par exemple, réfrigéré et passé au four au moment du repas. Un riz blanc ou basmati accompagnera très bien, on peut ajouter du fromage râpé et faire gratiner !

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La reprise s’est finalement avérée un peu compliquée … mon message de dimanche n’a été notifié que lundi et Canalblog est apparemment toujours dans les soucis, il y a eu sans doute un gros pépin pendant le w.e. Comme je donnais quelques explications sur les nouveautés que j'ai apportées, je vous donne le lien pour retourner à mon billet de dimanche qui n’est pas passé chez tout le monde ; c’est donc ICI !



Pour aujourd’hui, petit plat sans complication aucune et vraiment délicieux. La fourme d’Ambert réveille les courgettes, hum …. et puis c’est assez léger finalement !

Pour 4 cocottes : 1 kg de courgettes 1/2 tranche de fourme d’Ambert 1 filet d’huile d’olive sel fin et poivre du moulin persil finement ciselé

Peler (ou non) les courgettes, les couper en quatre dans le sens de la longueur afin d’en retirer les pépins puis débiter en petits cubes.

Dans une poêle, faire chauffer l’huile d’olive et y faire revenir les courgettes, elles doivent être presque cuites donc translucides. Saler (très légèrement) et poivrer. Parsemer de persil ciselé et de la fourme découpée en petits cubes.

 
Mélanger très délicatement l’ensemble et verser dans les petites cocottes. Enfourner pour une quinzaine de minutes dans un four préchauffé à 180°C.

Il ne reste qu’à déguster !

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Voilà qui n’est absolument pas raisonnable du tout, mais comment résister ? “Je kiffe vraiment trop grave” ……… il faut aimer le “sucré” et, sous cette seule et unique condition, il sera possible d’apprécier à sa juste valeur ce que je qualifie de “pur ravissement” ! En plus, point n’est besoin de qualification particulière, c’est trop facile à faire ! juste quand même une turbine à glace ou une sorbetière pour réussir. - une boîte de confiture de lait (recette ICI) - 100 g de lait - 250 g de crème fraîche liquide entière Une fois la confiture de lait réalisée, surtout ne pas s’en régaler de suite mais la mélanger au lait et à la crème fraîche. Réfrigérer le mélange avant de le verser dans la cuve de la turbine que l’on programme pour le temps habituel. Verser la glace soit en bac soit en petites verrines (placées vides au congélateur) ou alors se régaler  de suite !

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Vite faites dans le Pie & Co, ces petites tourtes sont bien sympathiques !

Accompagnées d’une salade verte ou autres crudités, on obtient un repas complet.

- pâte pour tourte, recette ici - 6 grosses crevettes cuites - 300 g de saumon cuit au court bouillon - 8 cuillers à soupe de crème fraîche - sel fin et poivre du moulin - piment d’Espelette (facultatif)

Une fois la pâte étalée, découper les 4 ronds pour les fonds, les installer dans l’appareil.

Répartir dans les empreintes le saumon et les crevettes coupées en morceaux.

Couler la crème fraîche dans chaque empreinte, saler, poivrer et saupoudrer d’un peu de piment d’Espelette.

Refermer avec les découpes supérieures, souder les bords ensemble en appuyant.

Brancher l’appareil et laisser cuire pendant 12 à 15 minutes environ.

Pour obtenir de jolies tourtes bien gonflées et dorées, je conseille toujours de retourner l’appareil à mi-cuisson (mettre des gants, l’appareil est très chaud).

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Haricot coco … ça peut prêter à confusion !

Le haricot coco est un féculent alors que le haricot coco plat est un légume vert, cousin du haricot vert. Il est produit en Espagne, on en trouve toute l’année mais les prix, en hiver, sont souvent dissuasifs. En ce moment, c’est la pleine saison, le prix est correct et nous nous en régalons souvent.

Je le cuisine de 4 ou 5 manières différentes ; je vous l’avais proposé ICI, cuisiné avec lardons et tomate. Aujourd’hui, c’est plus light …  mais tout aussi délicieux !

S’il vous reste encore un petit effort à faire pour être au top dans le maillot sur la plage, cette recette est pour vous 

Pour deux jolies assiettes : - 500 g de haricots coco plats - gros sel - 1 c. à soupe de bicarbonate alimentaire - beurre de cacao Mycryo (ou autre MG) - jus de citron - huile d’olive - persil ciselé - fleur de sel

Le bicarbonate aide à conserver une jolie couleur verte aux haricots. Le beurre de cacao Mycryo est une matière grasse en poudre destinée à l’origine au tempérage du chocolat mais que j’utilise pour faire revenir viandes, poissons ou légumes, j’en parlerai dans un billet qui lui sera spécialement dédié.

Couper les deux extrémités des haricots à l’aide d’un couteau. Bien les laver avant de les couper en tronçons de 4 à 5 centimètres (coupe en biais).

Faire bouillir un grand volume d’eau, saler au gros sel puis jeter les haricots et le bicarbonate alimentaire. Faire reprendre l’ébullition pour une petite dizaine de minutes. Goûter, ils doivent être juste cuits mais pas mous. Egoutter en faisant couler de l’eau bien froide.

Au moment de servir, faire fondre le beurre de cacao dans une poêle, ajouter les haricots, laisser chauffer.

Servir en ajoutant, selon les goûts, du jus de citron, un filet d’huile d’olive et du persil ciselé, sans oublier une pincée de fleurs de sel.

Excellent et diététique, super par ces grosses chaleurs !

Faire bouillir de l’eau salée … rien de plus simple. Vous gagnerez du temps et surtout de l’énergie en ne salant votre eau qu’une fois l’ébullition atteinte !     (l’eau salée arrive moins vite à ébullition)

 

C’est un mot magique, souvent les yeux brillent !  eh oui, c’est excellent, mariage de la glace vanille et du chocolat chaud, hum ……

Rien de bien compliqué, il suffit juste de s’organiser correctement et de disposer d’un peu de temps juste au moment de servir pour le chocolat chaud !

Tout d’abord, réaliser au moins la veille la glace à la vanille, recette Ici.

 

Le matin même (on peut également congeler mais il manquera un tout petit quelque chose), réaliser les choux, recette Ici.

Juste au moment de servir, fendre les choux en deux et les garnir de glace à la vanille, ou mieux encore, faire un trou dans leur base et les emplir de glace à l'aide d'une poche à douille.

Simultanément, réaliser la sauce au chocolat : 

- 100 g de chocolat noir (en pistoles c’est plus pratique)

- 20 g de beurre doux

- 50 g de lait demi-écrémé

Faire fondre le chocolat puis ajouter le lait et le beurre tout en remuant et couler de suite sur les profiteroles ….

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Il arrive que l’on soit totalement réfractaire au sandwich … si, si, je vous l’assure ! 

Eh bien, sous cette forme, j’ai rencontré un succès tout aussi agréable qu’inattendu ! et alors, on m’en redemande même …  qui l’eût cru ?

Il faut confectionner des baguettes, recette Ici ou bien alors, au moment de découper le pâton, faire plutôt des formes rondes qui seront encore plus faciles à garnir.

Ce “pain ciabatta” est vraiment dédié au sandwich et lui apporte un goût bien spécifique.

Pour la garniture, laissons libre cours à notre imagination et adaptons au contenu de notre réfrigérateur ; crudités pour le craquant et la couleur et puis ensuite une viande cuite, de la charcuterie, des oeufs durs ou encore du thon ….. un petit air de pique nique même hors saison    bien couler un généreux filet d’une bonne huile d’olive sur la mie du pain avant de le garnir.

                                         

                                           Martine bichonne son Menu

Mon amie Lili me donne de temps en temps des petites recettes bien sympa, je vous invite à visiter son site “La boulang’ de Ptitelili” qui, comme son nom l’indique, est dédié à “la boulange” !

Aujourd’hui, ce sont des gaufres salées, à la courgette et au jambon fumé, idée originale et c’est bien bon 

- 2 courgettes moyennes - 2 gros oeufs - 120 g de farine T45 - 1 sachet de levure chimique - 50 g de beurre fondu - 200 ml de lait (100 +100) - 70 g de fromage râpé - 100 g d’allumettes de jambon fumé - sel fin et poivre du moulin

Laver, essuyer et éplucher (une bande sur deux) les courgettes puis les râper très finement. Les mettre dans un torchon (souvent les sites précisent “propre” lol) et les presser au maximum avec les mains pour leur faire rendre toute leur eau.

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot) équipé du fouet à fils, monter les blancs d’oeufs en neige ferme et réserver dans un autre récipient.

Retirer le fouet à fils et installer la feuille (fouet triangulaire plat), verser dans le bol la farine et la levure, ajouter le beurre fondu, la moitié du lait et les jaunes d’oeufs. Mélanger pendant 2 mn à vit 2.

Ajouter le reste du lait, assaisonner et mélanger à nouveau pendant 1 mn à vit 2.

Incorporer alors délicatement les blancs en neige, ajouter le fromage râpé, le jambon et les courgettes essorées. Mélanger le tout toujours délicatement.

Faire cuire dans votre gaufrier avec la plaque de votre choix et accompagner de quelques feuilles de salade verte.

Merci Lili !

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Les petits mousserons séchés ont parfumé les pommes de terre. Il suffit de les tremper pendant une dizaine de minutes dans un saladier d’eau froide et ensuite de les serrer un peu dans la main pour retirer l’excédent d’eau et ils retrouvent leur forme initiale.

Faute de mousserons ardéchois, d’autres champignons séchés ou frais feront bien sûr l’affaire    

Pour 2 personnes : * 3 belles pommes de terre * 1 petit saladier de champignons séchés * 2 cuillers à soupe d’huile d’olive * 2 jolies gousses d'ail * persil finement ciselé * sel fin et poivre du moulin

Peler les pommes de terre et les couper en fines tranches.

Les faire griller dans l’huile d’olive, elles doivent être croustillantes. Ensuite, les laisser cuire plus doucement jusqu’à ce qu’elles soient tendres.

Pendant ce temps préparer les champignons selon le mode choisi et les ajouter aux pommes de terre lorsqu’elle sont pratiquement cuites.

Mélanger sans abîmer les pommes de terre. Saler, poivrer, parsemer d’ail émincé et de persil finement ciselé.

Laisser cuire encore quelques minutes pour que les parfums se mêlent.

Avec une cuisse de poulet en croûte de sel, hum c’était …

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Nous aimons le gratin de quinoa aux courgettes (ici) mais là je n’avais que des carottes !!!  alors, un petit tour sur le net et j’ai adapté au Thermomix.

Le quinoa est très digeste, sans gluten, riche en protéines, on le trouve dans certaines grandes surfaces ou en magasin bio où il est vendu au détail.

- 1 oignon - 5 à 6 carottes moyennes   (350 à 400 g pesées épluchées) - 200 g de quinoa - 400 g de bouillon de volaille   (recette maison ICI – ou cube) - thym - persil ciselé - sel fin et poivre du moulin

Eplucher l’oignon et les carottes ; les couper en tronçons. Rincer les graines de quinoa.

Dans le bol du Thermomix, mixer l’oignon pendant 5 sec. à vit 5, rabattre à l’aide de la spatule. Ajouter une belle cuiller d’huile d’olive et programmer 5 mn 100° à vit. 1.

A l’arrêt de la minuterie, ajouter les tronçons de carottes et mixer pendant 7 sec à vit 5.

Rabattre la préparation, verser le thym, saler, poivrer puis ajouter le quinoa rincé et le bouillon de volaille. Programmer 23 mn FSI 100° à vit 2,5.

A l’arrêt de la minuterie, vérifier la bonne cuisson, rectifier l’assaisonnement et laisser gonfler quelques minutes dans le bol avant de servir avec quelques pluches de persil ciselé.

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Comme le dit si bien Josette (ici pour visiter son blog) à qui je dois cette super petite recette, le plus difficile dans l’histoire, c’est de faire tenir l’oeuf à sa place !  Ce n’est vraiment pas gagné d’avance, il se carapate et même tombe à côté 

Pour 2 ou 4 personnes : - 2 aubergines ventrues - 6 cuillers à soupe d’huile d’olive - 1 gros oignon - 1 petite boîte de tomates en dés - 4 oeufs moyens - sel fin et poivre du moulin - piment d’Espelette en poudre

Faire préchauffer le four à 180°.

Laver, essuyer les aubergines puis les couper en deux dans le sens de la longueur. Badigeonner environ une cuiller à soupe d’huile sur chaque face coupée en enfourner pour 20 à 30 mn (selon la grosseur).

Pendant ce temps, émincer l’oignon et le faire fondre dans 2 cuillers à soupe d’huile puis verser la boîte de tomates en dés et laisser réduire à petit feu.

Lorsque la chair des aubergines est tendre sous la pointe du couteau, les sortir du four (je les ai laissé refroidir, c’était trop chaud pour moi) puis les évider en prenant soin de ne pas percer la peau.

Ajouter cette chair aux tomates, bien mélanger, ajouter sel + poivre + piment d’Espelette et laisser le tout compoter jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’eau, répartir ensuite cette préparation dans les coques d’aubergines.

Ici, deux choix :

- soit faire une petite cavité dans la farce et y casser un oeuf,
- soit, faire une petite cavité dans la farce et y verser le blanc d’un oeuf.

Dans les deux cas, enfourner pour environ 10 à 15 mn, le temps de cuire le blanc et dans la deuxième hypothèse, ajouter un jaune sur chaque aubergine quand le blanc est presque cuit et remettre au four pour 1 mn, juste le temps de tempérer le jaune.

                                                     Merci Josette !

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C’est simplissime à faire et délicieux mais encore fallait-il en avoir l’idée ! cette fois, c’est à ma copinaute Josette que je dois ces petites verrines ; merci, nous avons beaucoup aimé 

 
Préparer le lemon curd puis le réfrigérer :  cuisson Thermomix ICI ou cuisson micro-ondes ICI.

Dans le bol du Kitchenaid, verser le fromage blanc (et le sucre éventuel), installer le fouet et battre pendant 2 à 3 mn à vit 4.

Monter les verrines en versant au fond le lemon curd puis ajouter le fromage blanc battu.

Servir bien frais en décorant d’une framboise !

 

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Les fèves fraîches sont peut-être meilleures mais je n’ai pas le courage de les écosser, “Picard” le fait parfaitement pour moi et ça me convient bien ainsi 

- 1 sachet de 450 g de fèves surgelées - 200 g de lardons fumés - 2 belles échalotes - 1 cuiller à soupe d’huile d’olive - crème fraîche - sel et poivre du moulin

Faire bouillir une grande casserole d’eau, la saler et y couler les fèves surgelées. Faire reprendre un petit bouillon et compter 6 mn avant d’égoutter de suite délicatement.

Dans une poêle, faire revenir les échalotes émincées dans un peu d’huile d’olive.



Pendant ce temps et dans un saladier, couvrir d’eau les lardons et mettre pour 5 mn au four m.o. pleine puissance, égoutter de suite.

Ajouter les lardons aux oignons et faire doucement dorer et cuire l’ensemble.

Ensuite, une fois les oignons translucides et les lardons cuits, on peut incliner la poêle pour faire glisser le gras et l’éponger avec un papier absorbant.

Il ne reste qu’à ajouter les fèves, mélanger délicatement (les fèves sont très fragiles), saler légèrement, poivrer et ajouter la crème fraîche.

Goûter et rectifier l’assaisonnement si nécessaire.

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Recette de Marie Paule publiée sur Ô Délices et légèrement modifiée  

À la saison des châtaignes, la crème de marrons peut être “faite maison”, vous trouverez ma recette Ici.

- 2 gros oeufs - 90 g de sucre semoule - 1 pincée de sel fin - 90 g de farine - 1 sachet de levure chimique - 80 g de beurre - 350 g de crème de marrons - 10 g de Rhum

Séparer les blancs des jaunes puis monter les blancs en neige ferme (dans le kitchenaid, avec un simple batteur ou un fouet à main), réserver.

Faire préchauffer le four à 160°C.

Dans le bol du Kitchenaid (ou tout autre robot mélangeur ou à la main à l’aide d’une cuiller) installer la feuille, ajouter tous les autres ingrédients et mixer à vit. 2 jusqu’à obtenir un mélange bien homogène.
 
Incorporer délicatement les blancs en neige et verser l’ensemble dans le moule choisi (légèrement beurré même s’il est en silicone).

Enfourner dans le four préchauffé pour 40 mn.

Laisser refroidir quelques instants avant de démouler.

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Cette recette, vue sur Le journal des femmes, a retenu mon attention …  un petit déjeuner gourmand avec de véritables muffins anglais et une délicieuse confiture d’orange ( dont je vous rappelle ma super recette ici !) ou bien encore un petit encas salé avec un oeuf au plat, du fromage fondu et une tranche de bacon …. dans tous les cas, les couper en deux horizontalement et les passer au grille pain avant de les garnir.


Sont-ce ceux là même que Bree Van de Kamp offrait régulièrement à ses nouveaux voisins de Wisteria lane  ??? 

- 250 g de farine T45 - 1 cuiller à café de sucre semoule - 1/2 cuiller à café de sel fin - 160 g de lait à peine tiède - 5 g de levure bruggeman - 40 g de beurre pommade - semoule de blé fine

Dans le bol du Kitchenaid (ou de tout autre robot) mettre la farine, le sucre, le sel et le lait.

Installer le crochet, ajouter la levure et pétrir 10 mn à vit. 1, laisser poser pendant 10 mn.

Ajouter le beurre pommade puis pétrir à nouveau 10 mn à vit. 1.

On obtient une jolie boule de pâte qui ne colle pas.

Couvrir le bol d’un torchon et laisser pousser la pâte pendant environ 1 heure, elle doit doubler de volume.

Fleurer une feuille roulpat (ou papier cuisson ou plan de travail) et étaler la pâte sur une épaisseur d’un bon centimètre.

Découper les muffins à l’aide de l’emporte pièce choisi.

Verser la semoule fine de blé dans une soucoupe et y poser les muffins de chaque côté pour qu’ils en soient bien enrobés. Les reposer sur la feuille roulpat, les couvrir d’un torchon et laisser à nouveau lever pendant environ 1 heure, ils doivent doubler de volume.

Dans une poêle chaude (pas brûlante surtout) anti adhésive et sans matière grasse, les faire cuire à feu doux pendant 5 à 8 mn de chaque côté, ils doivent être juste dorés.

Ils se conserveront juste deux jours dans une boîte. Sinon, ils se congèlent parfaitement (congelés déjà coupés en deux, ils seront prêts à passer au grille pain directement à la sortie du congélateur).

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C’est à mon amie Christalie que je dois cette recette, je vous conseille une petite visite chez elle, il y a plein de bonne idées et en particulier des gâteaux montés dont elle a le secret !

Quoi de plus savoureux qu’une tuile aux amandes pour accompagner une ou deux boules de glace !

Ce n’est que du bonheur et c’est si facile à réaliser …  point n’est besoin d’appareil sophistiqué pour une fois !  un saladier, un petit fouet à main pour la pâte puis une feuille de cuisson en silicone (ou du papier cuisson) et un rouleau à pâtisserie ; le tour est joué.


Le nombre de tuiles sera fonction de l’étalement de la pâte, je les ai fait toutes grandes et bien fines …

- 52 g de beurre  - 3 blancs d’oeuf   ( gros : 110 g environ) - 150 g de sucre semoule - 75 g de farine tamisée - 1 pincée de sel fin - 100 g d’amandes effilées

Dans un saladier, verser le beurre et le faire bien ramollir au four à m.o.

Ajouter le reste des ingrédients sauf les amandes effilées et mélanger l’ensemble à l’aide d’un petit fouet. Ne pas battre, juste mélanger.

Faire préchauffer le four à 180°.

Sur une feuille silicone, déposer des cuillers à café de pâte (cinq suffiront à remplir la plaque). Avec le dos d’une fourchette, étaler la pâte jusqu’à obtenir la taille désirée et un disque presque transparente (retirer le trop de pâte qui reste sur la fourchette).

Disperser les amandes effilées avant d’enfourner pour environ 8 mn.

Il est intéressant d’avoir deux feuilles silicone pour enchainer les cuissons sans perte de temps.

Les tuiles sont cuites quand le pourtour est bien doré.

Dès la sortie du four, décoller le bord d’une tuile et la poser de suite sur le rouleau à pâtisserie dont elle prendra de suite la forme en refroidissant.

Poursuivre rapidement car il faut faire vite ; si les tuiles refroidissent à plat il ne sera plus possible de leur donner la forme arrondie car elles casseront, d’où l’intérêt de n’en faire cuire que 5 à la fois (ou alors, avoir une collection de rouleaux à pâtisserie …).

Les tuiles ramollissent à grande vitesse (surtout par temps humide) et ne sont plus aussi plaisantes à croquer , elles se conserveront “un peu” dans une boîte en fer. J’en congèle dès complet refroidissement (les unes à côté des autres sur une plaque avant de les ensacher lorsqu’elles sont congelées). Je les sors juste au moment de les manger (les manger glacées), elles sont craquantes comme à la sortie du four !

                                    Craquantes à souhait !

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J’ai eu très envie de réaliser ce gâteau proposé par Bernard, c’est à déguster en petites parts et à éviter après un repas copieux.

Il faut avoir un goût prononcé pour le sucré ; l’alliance du chocolat et de la crème de marrons est une peu lourde selon moi … mais il en faut pour tous les goûts !

J’ai divisé les quantités par deux, ici on a découpé 6 parts déjà !

- 75 g de  chocolat noir - 65 g de beurre - 250 g de crème de marrons   (crème maison, recette Ici) - 2 oeufs - 1 pincée de sel fin - 20 g de sucre glace

Faire préchauffer le four à 150°.

Dans un bol, faire fondre le chocolat et le beurre soit au four m.o. soit au bain-marie.

Dans un saladier, bien mélanger la crème de marrons, les oeufs, le sel et le sucre .

Ajouter le chocolat et le beurre fondus, mélanger.

On obtient une pâte bien lisse que l’on verse dans le moule choisi (soit chemisé de papier cuisson soit beurré même s’il est en silicone).

Enfourner pour 35 mn dans le four préchauffé.

Laisser refroidir totalement avant de mettre au frais.

Démouler au moment de servir en fines tranches.

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