Je fais régulièrement ce velouté glacé lorsqu’il fait très chaud, cette recette a été élaborée par Cpanpan que je remercie vivement 

Ce n’est pas un gaspacho puisque les légumes sont cuits en grande partie et c’est donc très digeste. Le goût et la couleur diffèrent selon la taille de chacun des  légumes mais c’est toujours délicieux.

Ce velouté est fait dans le Thermomix ; il est toujours possible d’adapter la recettes sans ce robot. Il faut le faire le matin pour le déguster le soir, il doit être servi vraiment très froid. 

   1joli concombre long ou plusieurs courts
   1 joli poivron
       (rouge de préférence pour donner un velouté rose)
   1 boîte de tomates en dés (ou tomates fraîches)
   1 oignon
   2 gousses d’ail
   quelques feuilles de cèleri
   2 cuillers à soupe de vinaigre
   250 g d’eau
   herbes : persil plat, ciboulette, basilic selon vos goûts
   sel fin et poivre du moulin
   huile d’olive

Préparer les légumes ; les laver, les éplucher et retirer les parois blanches à l’intérieur du poivron.

Dans le bol du Thermomix, mettre l’oignon coupé en 4 et l’ail, mixer 5 sec à vit 5, ajouter deux cuillers à soupe d’huile d’olive et programmer pour 4 mn 100° à vit 1.

A l’arrêt de la minuterie, introduire par l’orifice du couvercle le concombre coupé en morceaux, les feuilles de cèleri et 250g d’eau puis programmer pour 15 mn 100° à vit 1.

Ajouter alors le poivron coupé en morceaux et relancer pour 5 mn 100° à vit 1.

Puis, ensuite la tomate, les herbes aromatiques, 1 cuiller à soupe d’huile d’olive ainsi que le vinaigre et programmer 5 mn 100° à vit 1, saler, poivrer.

Pour obtenir un joli velouté, mixer 1 mn à vit 6 puis 1 mn à vit 10 en augmentant progressivement la vitesse (bien tenir le bouchon fermé à l’aide d’un torchon).

Verser dans un saladier, ajouter de l'eau si désiré, laisser tiédir au moins et réfrigérer.

   Avec l’habitude, on augmente un peu la quantité de légumes dans le bol (attention, trop, ça déborde ) et on obtient alors un velouté trop épais ; ajouter donc ensuite de l’eau jusqu’à obtenir la consistance désirée.

   Si vous mettez de la ciboulette, bien la couper en tronçons auparavant sinon les brins risquent de s’enrouler autour de l’axe des couteaux.

Extra ce tian de mon beau-frère Jacques !

N’ayant pas le plat du même nom, je le présente
directement dans la lèchefrite du four.

  Il régalera 6 à 8 convives :

- 2 à 3 courgettes selon leur taille
- 8 tomates moyennes
- 4 pommes de terre moyennes
- 1 bel oignon
- 80 g de parmesan
- 3 feuilles de laurier
- 2 cuiller à café de thym
- bouquet de basilic
- bouquet de persil plat
- huile d’olive
- sel fin et poivre du moulin

Laver les courgettes et les tomates, les couper en rondelles.
Peler les pommes de terre et les couper en lamelles.
Peler et émincer l’oignon.

Dans le fond du plat, verser un filet d’huile d’olive puis l’oignon et les pommes de terre. Mélanger.
Parsemer de thym, saler et poivrer.

Ranger ensuite les rondelles alternées de tomates et de courgettes.
Découper finement les feuilles de laurier et les répartir ainsi que le persil.
Arroser d’un filet d’huile d’olive, saler, poivrer.

Faire cuire à 180° pendant 40 mn.

Ciseler finement le basilic et le mélanger au parmesan râpé. Sortir le plat du four et parsemer ce mélange puis remettre au four 5 à 10 mn  à 195°, surveiller.
 

Quel parfum !

Oui, je veux bien l’appeler “Poulet au vin blanc” mais je précise que le vin blanc n’est pas omniprésent. Je me suis fort inspirée du livre “Petits plats à la mijoteuse”.

Je vais sans doute me répéter mais je confirme que la mijoteuse n’est pas un appareil réservé à l’hiver ; on peut y cuisiner de bons petits plats en été et les avantages ne sont pas négligeables : toujours rien à surveiller, mets souvent sans matière grasse mais en plus et surtout, pas de chaleur dans la cuisine !

                ☼  1 poulet de 1,200 kg
             ☼  80 g de vin blanc sec + 20 g d’eau
             ☼  sel fin et poivre du moulin
                        
                    Pour la farce :
              ☼  40 g de chapelure
              ☼  4 gousses d’ail pilées
              ☼  3 branches de romarin hachées
              ☼  le zeste d’un citron 
              ☼  2 belles cuillers à soupe d’huile d’olive

Mélanger la chapelure, l’ail, le romarin, le zeste de citron et l’huile d’olive. Saler et poivrer l’intérieur du poulet et y déposer cette farce bien mélangée. Maintenir l’ouverture fermée à l’aide d’une petite brochette par exemple. Saler et poivrer à l’extérieur également.

Verser le vin blanc et l’eau dans la cuve de la mijoteuse, y déposer le poulet farci sur la poitrine et programmer position low  pour 5 h.

Découper le poulet et le servir accompagné le légumes verts ou de pommes de terre sautées.

Comme c’est l’été, je l’ai servi froid (sans la peau), accompagné du jus de cuisson gélifié, d’une salade verte et de crudités.

La viande est très moelleuse et bien parfumée, c’est très bon !

J’ai fini par me décider …. après avoir testé et approuvé les rôtis de viande blanche en cuisson au four à basse température, j’ai tenté le rosbif.

Le résultat est plus que satisfaisant même si mon rosbif était à mon goût un peu trop cuit. Il y a peu d’explications précises sur le net pour ce type de cuisson alors je vous livre ma méthode. C’était un repas spécial, nous avions vraiment envie de nous faire plaisir et nous avons pris un rôti dans le filet d’1 kilo. C’est du filet me direz-vous, pas étonnant que ce soit tendre mais la prochaine fois je prendrai un morceau moins onéreux et je complèterai ce billet ; je suis à peu près certaine, avec ce mode de cuisson, de rendre tendre un rôti d’ordinaire plus coriace mais sans doute aussi plus goûteux.




Dans une cocotte, faire revenir à feu vif  le rôti de toutes parts
ainsi qu’un gros oignon coupé en morceaux.



Enfourner, sans couvrir, à 85 ° pour 1h30
(j’avais mis 2 h et ça donne une viande presque à point).




Après 1 heure de cuisson, sortir la cocotte, saler généreusement
et poivrer le rôti de toutes parts et, si vous en avez,
piquer un thermomètre à cœur.
Le mien préconise 63° pour du bœuf saignant, je pense que 60°
sont amplement suffisants.
Déglacer la cocotte avec de l’eau chaude, les oignons sont confits, c’est délicieux. 

Si on fait ce rosbif en hiver, il conviendra de le servir dans des assiettes chaudes évidemment.

Pour l’accompagnement, c’est au choix, légumes verts pour faire léger ou frites pour se régaler jusqu’au bout 

Délicates petites quenelles de poisson, noix de Saint Jacques et crevettes, cette recette est tirée du livre édité par Larousse et intitulé “Petites dîners entre amis”.
Les quantités indiquées ont donné 16 quenelles ; à raison de 2 à 3 quenelles par personne, ce plat est fait pour 5 à 8 convives selon qu’il sera servi en entrée ou en plat principal accompagné d’un riz sauvage par exemple.
A noter que ce plat ne se prépare pas à la dernière minute, il y a un temps de pose d’au moins 3 heures. 

Pour les quenelles : 250 g de filet de poisson          (blanc à chair ferme sans peau) 150 g de noix de Saint Jacques 150 g de crevettes décortiquées 1 blanc d’œuf 1 c. café de zeste de citron râpé 12 cl de crème fraîche liquide 3 c. soupe de ciboulette ciselée 1 litre de fumet de poisson sel fin et poivre du moulin

Pour le coulis de tomates : 1 petite bte tomate en dés 1 c à soupe d’huile d’olive 1 gousse d’ail pressée 2 c à soupe de crème fraîche 2 c à soupe de ciboulette sel fin et poivre du moulin 1 c à café de sucre semoule

Laver et essuyer le filet de poisson (j’ai pris un dos de cabillaud) puis les coquilles Saint Jacques. Si besoin, décortiquer totalement les crevettes puis inciser légèrement leur dos pour retirer la veine noire.
Dans le bol du Thermomix (ou de tout autre robot), mixer le poisson pendant 2 sec à vit 8, rabattre à l’aide d’une spatule et remixer si nécessaire, réserver. Réunir les crevettes et les coquilles Saint Jacques et les mixer de la même manière.
Mettre le tout dans le bol du Thermomix, ajouter le zeste de citron et le blanc d’œuf et mixer à nouveau 8 sec à vit 4 jusqu’à obtenir un mélange bien homogène.
En poursuivant vit 3, ajouter la crème fraîche liquide, la ciboulette finement ciselée, saler, poivrer et mixer 5 sec. Ne pas mixer trop longtemps, dès que le mélange est pris, transvaser le tout dans un saladier et réfrigérer pour au moins 3 heures.

  Il faut ciseler la ciboulette avant de la mettre dans le bol du Thermomix, faute de quoi les brins entiers s’enroulent autour de l’axe des couteaux.

A l’aide de deux cuillers à soupe humidifiées, façonner des quenelles de forme ovale en prélevant pour chacune 2 cuillers à soupe de pâte. Disposer les quenelles sur une plaque, couvrir et réfrigérer à nouveau pendant 30 mn.

Pendant ce temps, préparer le coulis de tomate : dans le bol du Thermomix (peut se faire dans une simple casserole), mettre les dés de tomate, l’huile d’olive et l’ail et programmer pour 15 mn 100° à vit 2. Ensuite, mixer quelques secondes à vit 9, ajouter le sucre semoule, saler et poivrer.
Par l’orifice du couvercle, faire couler la crème fraîche liquide et la ciboulette finement ciselée.
Simultanément, dans une grande sauteuse, faire chauffer le fumet de poisson sans le porter à ébullition. Faire glisser délicatement les quenelles dans le liquide frémissant, couvrir, réduire le feu et faire pocher ainsi pendant 5 à 6 mn. Retirer les quenelles à l’aide d’une écumoire, les égoutter sur du papier absorbant et servir de suite (dans des assiettes chaudes de préférence) sur un lit de coulis de tomate.

Cette recette ne vaut qu’avec Thermomix ! C’est un plaisir de réaliser un sorbet avec cet appareil, il suffit de congeler les fruits en rondelles ou en petits morceaux et en quelques minutes un délicieux sorbet est prêt.

Pour remplir six empreintes individuelles :

500 g de rondelles de banane (pesées sans la peau)
80 g de sucre semoule

Parfums au choix :

chocolat mixé (comme ici) ou en pépites, vanille, caramel, etc … 

Auparavant, mixer 10 sec à vit 9 le sucre semoule pour obtenir du sucre glace.

Placer le bol vide du Thermomix un moment au réfrigérateur puis y déposer les rondelles de banane congelées, mixer 1 mn à vit 9 en s’aidant de la spatule pour rabattre la glace à l’intérieur du bol.
Ouvrir le bol et insérer le fouet puis mixer 20 sec à vit 3.
 On peut mixer avec le sucre quelques carrés de chocolat ou utiliser du sucre vanillé thermomix.

Ni plus ni moins qu’une crème anglaise (faite au Thermomix) enrichie de crème fraîche et passée en turbine à glace !

Elle accompagnera nombre de gâteaux et toutes les compositions de boules.
Seule, on pourra la napper de caramel, de chocolat chaud, d’un coulis de fruits rouges etc …, on pourra lui incorporer des pépites de chocolat, des éclats de pistache, des fruits confits ou du nougat haché …. elle n’est jamais à cours d’idées.



  Pour faire 1 litre de glace :
                                                                            
- 4 jaunes d'oeufs
- 65 g de sucre semoule
- 1 gousse de vanille (ou 1 càs de sucre vanillé)
- 335 g de lait demi-écrémé
- 165 g de crème fraîche liquide
- 3, 5 g de super neutrose
  (stabilisateur pour glaces et sorbets non obligatoire)


Dans un saladier, mélanger le sucre semoule et le super neutrose puis ajouter le lait et laisser reposer ainsi 20 mn pour la maturation. Dans le bol du Thermomix, mettre les jaunes d’œufs, le mélange ci-dessus, la gousse de vanille fendue en deux dans le sens de la longueur et dont on gratte les graines (ou le sucre vanillé)  ;  programmer 6 mn 80° FSI à vit 3.
A l’arrêt de la minuterie, ajouter la crème fraîche, retirer la gousse de vanille et mixer 7 sec à vit 5.

Laisser la préparation revenir à température ambiante puis la placer au réfrigérateur. Une fois refroidie, la verser dans la cuve de la turbine et programmer pour 45 mn  (selon l’appareil).  Déguster de suite ou placer en bac pour faire des boules ou en petits pots individuels.  




Si vous n’avez pas de turbine ou de sorbetière : verser la crème froide dans un bac à glaçons et placer au congélateur. Au moment de servir, démouler les cubes de glace dans le bol du Thermomix et mixer 1 mn à vit 6 en s’aidant de la spatule, insérer le fouet et mixer 20 sec à vit 4, c’est prêt !

   Bien rincer la gousse de vanille, l’essuyer, la laisser sécher et la conserver pour faire du
         sucre vanillé “maison”.

   Juste à titre d’information, j’achète mes gousses de vanille chez Vanille Labelle, site
          sérieux dont je suis satisfaite :
                                                            http://www.vanille-labelle.com/  
        Je les converse dans un grand bocal que je place au réfrigérateur pour de longs mois.
   Deux idées pour utiliser les 6 blancs d’œufs  : 
         Meringues, recette ICI
         Financiers, recette ICI
        ou les congeler (1 par 1 c’est mieux) tout simplement pour une utilisation ultérieure.

C’est sur le forum de ST que Gourmande a donné cette recette que je me suis empressée de réaliser , c’est assez vite fait et c’est vraiment délicieux !

Etaler la pâte, la déposer dans le plat de cuisson, la recouvrir d’un papier cuisson puis de haricots avant de la faire cuire à blanc pendant 30 mn à 180°C. Laisser refroidir.

Laver, sécher les abricots et les couper en deux puis les faire doucement revenir dans une poêle avec le beurre pendant quelques minutes puis ajouter 70 g de sucre semoule et faire légèrement caraméliser. Laisser refroidir.
Une fois la pâte refroidie, y déposer les abricots et bien conserver le jus de cuisson.

Faire préchauffer le four à 220°C.
Dans un saladier, mettre l’oeuf, 40 g de sucre semoule, 50 g de poudre d’amande, 40 g de crème fraîche liquide, 12 g de Rhum et ajouter le jus de cuisson des abricots (j’en avais 70 g). Bien battre cet appareil et le verser sur les abricots.
Enfourner pour 5 mn à 220°  puis passer en position gril à 250° pour 1 ou 2 mn. Surveiller attentivement, ça colore très très vite !

Se déguste tiède saupoudré de sucre glace mais, s’il en reste, froid c’est bon aussi 

  J’ai ajouté à ma pâte une belle cuiller à soupe de sucre vanillé maison.

Merci Gourmande !

On peut difficilement faire plus simple ni plus diététique et vraiment c’est excellent !

Le flétan est excellent pour notre santé, je n’en trouve pas régulièrement sur l’étal frais alors j’ai essayé congelé, c’est aussi bien.

J’ai fait à l’intuition avec carottes et courgettes et juste un peu de curry, les légumes sont cuits au varoma mais toute cuisson à la vapeur conviendra.
Ensuite, cuisson de la papillote au four à micro-ondes.

- 1 pavé flétan / personne - 1 jolie carotte / personne - 1/2 courgette / personne - curry (ou autre à votre goût) - 1 càs de crème/personne - sel fin et poivre	Eplucher les carottes, éplucher les courgettes un trait sur deux, les couper en tagliatelles	Déposer les carottes dans le varoma et les courgettes dans le plateau. Faire cuire 25 mn temp Varoma vit 1 avec 800 g d’eau dans le bol. Laisser égoutter ensuite quelques mn.
Dans du papier cuisson en double épaisseur, poser le pavé de flétan (totalement décongelé), saler, poivrer, saupoudrer de curry.	Couvrir le poisson avec les légumes, saler, poivrer et saupoudrer de curry. Fermer la papillote et la déposer dans une assiette creuse.	Cuisson alternée 1 mn/assiette, 5fois. Ouvrir la papillote, faire couler et jeter le jus de cuisson, déposer le poisson et les légumes dans l’assiette de service.

verser la crème fraîche, hummmmm…….

Souvent, dans les recettes, il est fait mention des “cubes” de volaille ou de boeuf ou de légumes ; je ne les utilise pratiquement jamais pour bien des raisons dont  deux essentielles  (ce n’est que mon avis bien sûr) : - la première est que nous n’aimons pas le goût “Maggi” qui couvre celui de tous les aliments et  uniformise la saveur des plats, - la seconde est que je cuisine vraiment beaucoup pour tenter de manger le plus "sain" possible alors, ajouter ces cubes issus directement de l’industrie chimique ….

Par contre, je n’ai rien contre le fait de parfumer un potage ou un bouillon de cuisson des pâtes ou du riz ou un plat en sauce etc …

Il ne reste donc qu’à ………… faire son bouillon soi-même  !   et rien de plus facile.

		1 carcasse de poulet                   3 carottes                   1 poireau                  1 oignon                           piqué de 2 clous de girofle                  1 échalote                   3 tomates sans pépins                   1 verre de vin blanc sec                  1/2  branche de céleri                  2 feuilles de laurier + thym                   1 bouquet de persil                   gros sel et poivre du moulin
		Mettre tous les ingrédients dans un faitout, couvrir et laisser cuire 90 mn à partir de l’ébullition (tout doucement). Jeter la carcasse et l’oignon, à l’aide d’une écumoire, sortir les légumes puis passer le bouillon dans une passoire. Verser le bouillon dans des petits récipients, les réfrigérer puis les congeler.
		Avec une carcasse et quelques légumes, voici 11 petits verres de bouillon de qualité et une grosse assiette de légumes parfumés !

Facile et naturel !

C’est trop bon ça Madame !
En anglais “chocolate puddle” signifie “flaque de chocolat”, tout un programme ! 
On ne peut pas les rater, c’est très facile à faire et alors à déguster, je vous dis pas !

D’ordinaire, je cuisine la lotte dans une sauteuse mais ce jour là je devais m’absenter alors j’ai laissé faire la mijoteuse qui a du reste fait un excellent travail !

En Bretagne, une superbe queue de lotte dont le poissonnier m’a fait deux filets que j’ai découpés en morceaux.

Dans la cuve de la mijoteuse, déposer :       

les morceaux de lotte
1 (voire 2) boîte de tomates en dés
1 oignon finement découpé
1 gousse d’ail finement émincée   
thym émietté et 2 feuilles de laurier 
1/4 de piment pili pili  (si désiré)
sel fin et poivre du moulin

Fermer le couvercle et programmer pour 4 heures low (puisqu’on ne peut pas mettre moins longtemps) mais 4 heures c’est beaucoup trop bien sûr, je suis revenue après 1 h 30 et c’était juste comme il faut.

A l’aide d’une écumoire retirer les morceaux avec les dés de tomate, déposer dans les assiettes de service avec un généreux filet de crème fraîche plus sel et poivre puis réchauffer un instant au micro-ondes.

Une pomme de terre vapeur en accompagnement, c’est excellent et diététique !

C’est Nadine sur son Nuage de farine qui a proposé cette petite recette, j’ai vite imaginé qu’elle allait nous plaire et servir aussi de support aux délicieuses préparations que nous avons ramenées de Roscoff. Ce n’est pas indispensable car, dégustées seules, ces galettes sont délicieusement parfumées par le sésame et l’origan (à varier selon les goûts). Pour cette fois, ce furent Rillettes de maquereaux et Tartare aux algues : les deux sont excellents bien que très différents évidemment. C’est dans une petite boutique que sont vendus ces produits élaborés à Roscoff même, en fonction des saisons, et on peut les trouver à cette adresse : http://www.algoplus-roscoff.fr/   Je n’ai aucun partenariat, j’indique juste une bonne adresse. Revenons donc au pain lavash , voici la définition de Wikipédia : “Le lavash est une fine galette moelleuse faite de farine, de sel et d'eau. C'est le pain le plus courant en Arménie, en Iran et il est également répandu dans tout le Moyen-Orient. Il existe également une version américaine de ce pain.”

Et pour faire 4 jolies galettes que l’on cassera ensuite à la main, il faudra :

	-  120 g de farine T45   -  75 g  farine 1/2 complète   -   4 càs graines sésame   -   1 càs d’origan séché   -   1 càc de sel fin   -   4 càs d’huile d’olive   -  150 g d’eau	Avant d'enfourner :     -  huile d’olive    -  fleur de sel
Dans un grand bol, mélanger les deux farines, les graines, les épices et le sel. Ajouter l’huile et l’eau et mélanger bien jusqu’à obtenir une pâte souple, rajouter de la farine si la pâte est collante.	Diviser le pâton en quatre. Poser un papier cuisson sur le plan de travail puis étaler dessus un morceau de pâte le plus finement possible, à la limite de la transparence.
	Faire préchauffer four à 175°C. A l’aide d’un pinceau, huiler légèrement la pâte et y parsemer de la fleur de sel.	Transférer le papier et la pâte étalée sur une plaque de four et faire cuire 15 à 17 mn. Le pain est croustillant et  se casse en morceaux qui peuvent se conserver en boîte hermétique ou dans un torchon ou être aussi congelés.

Petits soufflés aux légumes sur une idée de Maiwenn, merci à toi, c’est excellent !

	Pour 6 petits ramequins     - 150g de courgettes     - 150g de carottes     - 1 c. à soupe de crème     - 25g de beurre     - 25 g de farine     - 20 cl de lait     - 2 oeufs     - sel fin     - poivre du moulin      - safran     - curry et piment       d'espelette
Eplucher les courgettes et les carottes et les râper. Les faire cuire : -  soit 35 mn à la vapeur -  soit 5 mn dans des    papillotes en silicone avec    3 c. à soupe d’eau. Les presser dans les mains pour en extraire toute l’eau, saler, poivrer.		Préparer une petite béchamel en faisant fondre le beurre dans une casserole, ajouter la farine, la laisser cuire doucement en remuant pendant quelques minutes. Ajouter le lait et les épices et laisser épaissir tout en tournant toujours. Saler, poivrer. Séparer les blancs des jaunes d’oeufs, réserver les blancs. Hors du feu, incorporer les jaunes à la béchamel.
	Puis mélanger  la béchamel et les légumes . Avec une pincée de sel fin, monter les blancs en neige ferme.
Incorporer délicatement les blancs à la préparation Préchauffer le four à 200°C.		Beurrer les ramequins ou le moule à soufflé. Enfourner pour 25 à 40 mn (temps variable selon qu’il s’agisse  de ramequins ou d’un grand moule et aussi selon le four).
	Vite, vite, à table !

C’est simplement en allant acheter mon agenda 2012 que ce petit coffret m’a tendu les bras ! Hé oui, le marchand de journaux de ma ville propose, pour les fêtes de fin d’année, un grand nombre de petits coffrets de ce genre et pour différentes utilisations, le tout pour 10,90 €, je n’ai pas résisté plus d’une demi-seconde ! Ce coffret, outre l’emporte-pièce, comporte un petit livre de recettes édité par Larousse d’où j’ai tiré celle-ci. Il y en a 22 autres (à venir), le petit-beurre est plein de ressources ….

Pour 50 petits-beurre :             - 200 g de sucre cristal             - 200 g de beurre demi-sel             - 12,5 cl d’eau             - 2 g de sel fin             - 500 g de farine             - 1/2 sachet de levure chimique

Dans une casserole et à feu doux, mettre à fondre le sucre, le beurre, l’eau et le sel. Porter à ébullition puis laisser reposer, feu éteint, pendant 20 mn en mélangeant fréquemment.
Dans un saladier, mélanger la farine et la levure. Ajouter à la préparation ci-dessus refroidie. Travailler d’abord cette pâte à l’aide d’une cuiller en bois puis à la main et former une boule (la pâte doit être plutôt molle). Envelopper cette boule de film alimentaire et placer au réfrigérateur pour 1 heure au moins.

Ensuite, faire préchauffer le four à 180°C.

Quand la pâte est devenue plus ferme, l’étaler finement sur le plan de travail fariné.
A l’aide de l’emporte-pièce, découper les petits-beurre dans la pâte et les déposer sur un papier sulfurisé puis glisser le tout sur une plaque de cuisson.

Enfourner pour 10 à 12 mn selon l’épaisseur, bien surveiller. Les petits-beurre doivent être dorés sur les bords et plus blancs au centre.
Laisser refroidir sur une grille. Ils se conserveront très bien pendant plusieurs jours dans une boîte hermétique.

C’est moi qui l’ai pêchée !   hélas pour elle, son chemin a croisé le mien et cette rencontre lui a été fatale et pourtant elle s’est défendue en me projetant son encre à plusieurs reprises.

Je n’ai pas de recette précise à donner, ce fut l’inspiration de l’instant. Après avoir (laborieusement) rassemblé toute la partie comestible, je l’ai découpée en lanières.
Dans une poêle,  j’ai fait revenir un oignon émincé, j’ai ajouté une boîte de tomates en dés, de l’ail, du persil et une quinzaine de rondelles de chorizo fort puis du sel et du poivre. J’ai ajouté les lanières de seiche et ai fait cuire doucement pendant une dizaine de minutes. Accompagné de riz blanc, cette seiche a fait un excellent repas pour 2 personnes.


                     

C’est un peu de travail tout de même mais la récompense ne se fait pas trop attendre ! les moules de bouchot sont sur les étales et il faut en profiter, elles sont goûteuses et pleines, un délice !

Il est sans doute possible de préparer les moules un peu à l’avance, de les disposer dans le plat de service, de les couvrir d’un film pour qu’elles ne sèchent pas et puis de faire la sauce juste au dernier moment et de réchauffer l’ensemble. Bien penser à servir dans des assiettes chaudes, ça refroidit très vite.

C’est très facile à réaliser, la principale difficulté (si on confectionne le plat complet juste avant le repas) est que les frites et les moules soient prêtes juste ensemble, pas évident !

J’indique  la recette pour 2 personnes avec 1kg de moules, c’est amplement suffisant. Les quantités de vin blanc et crème fraîche pour la sauce sont à adapter selon votre désir ! je suis toujours généreuse pour la sauce, il en est resté, je l’ai mis dans un bocal au congélateur pour parfumer une soupe de poissons par exemple.

1 kg moules de bouchot                         2 échalotes finement ciselées       15 cl d’un bon vin blanc sec       1 bouquet de persil émincé       15 cl de crème fraîche liquide entière       1 cuiller à soupe de farine       le jus d’1/2 citron       1 cuiller à café de Cognac         safran (1/2 petit pot)         poivre du moulin

Rincer rapidement les moules à l’eau froide, les gratter, arracher le pied puis les rincer rapidement à nouveau, les réserver dans un égouttoir.

Dans un grand faitout, verser le vin blanc, la crème fraîche, les échalotes, le persil. Mélanger l’ensemble et poivrer. Porter à ébullition et laisser cuire doucement pendant environ 5 mn puis ajouter les moules.

Sur feu vif cette fois et tout en remuant constamment, faire ouvrir les moules (3 à 4 mn suffisent). A l’aide d’une écumoire les retirer du faitout et ôter, pour chacune, la coquille où la moule n’est pas attachée. Ranger les coquilles pleines sur un plat à gratin, faire deux couches si nécessaire.

Dans une petite casserole, passer la sauce dans une fine passoire. Ajouter la farine, le jus de citron, le Cognac et le safran. Tout en mélangeant au fouet à main, porter juste avant l’ébullition et faire ainsi réduire pendant quelques minutes. Verser sur les moules et passez sous le grill du four quelques minutes pour bien réchauffer l’ensemble.

A servir avec des frites ou du riz par exemple !

Juste un peu de sucre semoule et quelques gouttes de colorant, rien de bien difficile à faire mais rien de bien bon non plus, ce sera une fantaisie qui donnera des couleurs pour décorer une table de goûter ou un dessert pour petits et/ou grands.

Une fois n’est pas coutume, on ferme les yeux sur ce colorant 100 % chimique 

	Ces petites seringues de trois couleurs sont vendues dans tous les supermarchés.
Dans une soucoupe, laisser tomber les gouttes de colorant pour obtenir la couleur désirée. Il faut 10 à 12 gouttes pour 50 g de sucre semoule Bien bien mélanger.
	Déposer ensuite dans des empreintes silicone à la forme de votre choix et patienter une vingtaine d’heures pour que le sucre sèche vraiment bien. Démouler ensuite. On peut aussi les glisser dans des petits bocaux qui compléter les paniers gourmands.

Et voici qu’une conseillère Demarle vient de s’installer dans ma ville ….. mes envies étaient vastes, j’ai eu le plaisir d’assister à sa première réunion au demeurant fort sympathique et quelques jours après j’ai pu me lancer dans la confection de ces mini tartelettes. Un jeu pour enfant aimant cuisiner, une vraie dînette avec ce petit découpoir et cette plaque en silicone de 30 mini empreintes.

Pour le premier essai, j’ai regardé vers le salé donc mini quiches lardons, mini quiches saumon et mini pizzas.

Il est possible de découper les 30 petites pâtes dans un seul rond de pâte du commerce.

J’ai préféré une pâte brisée faite Thermomix, recette ICI, j’ai découpé le pâton en 4 morceaux et j’en ai congelé 3.
J’ai étalé le plus finement possible de quatrième morceau et j’y ai découpé les 30 empreintes.

Pour la garniture j’ai acquis une barquette d’allumettes de lardons et une autre d’allumettes de saumon frais (je n’ai pas utilisé la totalité, j’ai congelé les petites allumettes restantes).

10 empreintes : fond de pâte, 2 ou 3 allumettes de lardons,                              un trait de crème fraîche liquide. 10 empreintes : fond de pâte, 2 allumettes de saumon frais,                              un trait de crème fraîche liquide. 10 empreintes : fond de pâte, sauce tomate, recette ICI,                              un éclat d’olive noire.

Répartir un peu de fromage râpé sur l’ensemble des  tartelettes.

Enfourner dans un four préchauffé à 200°C pour une quinzaine de minutes (à adapter selon le four).

Dégustées à l’apéritif avec un Américano, recette ICI, elles n’ont pas fait un pli,
chacun avait sa préférence et il n’est rien resté en peu de temps !

Le coût est vraiment très modique (au congélateur de quoi faire plusieurs autres plateaux avec les premiers achats) par rapport à celles achetées toutes faites et je ne vous dis pas le goût sans compter la qualité des produits !

La fonction “crisp” de Whirpool combine automatiquement les micro-ondes et le gril pour cuire ou réchauffer les plats. Il faut utiliser le plat “crisp” fourni avec l’appareil. Les pâtes ne sont pas ramollies mais au contraire sont croustillantes.

Tout ceci m’a conduit directement à  faire l’essai d’une pizza bien sûr ! Les puristes diront, à juste titre, que ce n’est pas une véritable pizza …. je suis d’accord (on n’a pas le même rendu qu’avec le véritable four à pizza Napoli) mais nous avons trouvé cette fausse pizza très bonne, vite faite, vite cuite et encore plus vite dévorée, elle aura sa place à notre table ! 

Une fois la pâte très finement étalée, la déposer sur un papier cuisson puis dans le plat “crisp”.

Faire préchauffer le four fonction “démarrage rapide” à 225° C.

Une fois le préchauffage terminé, enfourner le plat garni de la pâte pour 3 à 4 mn en fonction “crisp”. La pâte a tendance à former de grosses bulles mais elles seront facilement aplaties avant de garnir avec la sauce tomate. 

Sortir le plat, garnir la pâte de sauce tomate, répartir les rondelles de chorizo, les morceaux de jambon et le fromage râpé, saupoudrer d’origan en poudre en enfourner à nouveau pour 3 mn fonction “crisp”.

Répartir les olives noires et servir ! 

Petits cakes individuels légèrement sucrés/salés à accompagner de quelques feuilles de salade et voici une belle entrée ou un repas complet pour le soir.

La pâte à cake de base est toujours la même, vous  trouverez la recette  ICI.

J’y ai ajouté un assortiment des fruits secs dont je disposais mais on peut varier avec des amandes, des noix, des figues séchées ……

Evidemment tout est fait en dix minutes et la cuisson demande à peine plus de temps.

- une pâte à cake salée   pour 4 empreintes Pie & Co recette ICI - 8 à 10 abricots secs mais moelleux découpés - 2 belles càs de pistaches non salées - 2 à 3 noisettes par cake. - sel fin et mélange 5 baies Une fois la pâte réalisée, y verser les abricots et les pistaches, mélanger. Saler et ajouter quelques tours du mélange 5 baies. Faire préchauffer l’appareil quelques minutes puis répartir la préparation dans les 4 empreintes, déposer les noisettes entières sur chaque cake, fermer et laisser cuire une douzaine de minutes environ.

Pour que les chapeaux soient gonflés et dorés, bien penser à retourner l’appareil (attention, mettre des gants) après environ 4 mn de cuisson. Laisser ainsi à nouveau 4 mn avant de le remettre sur ses pieds pour achever la cuisson.

Tout droit venu de la criée de Roscoff, de superbes merlus étaient proposés au Centre Leclerc de Saint Pol de Léon à un prix fort intéressant : 3.80 € le kg  pour le poisson entier. Ils étaient de belle taille : 2,210 kg soit 8.40 euros pour régaler un bon nombre de convives !

J’ai choisi la cuisson au court bouillon, recette ICI, et ensuite une belle vinaigrette et quelques feuilles de salade, un régal diététique 

Lorsque le poisson est cuit, le sortir délicatement du court-bouillon et le laisser égoutter. Ensuite, la peau se retire très facilement, il faut lever les morceaux qui se détacheront aisément de l’arrête centrale. Les poser sur un papier absorbant et ensuite les réfrigérer. Faire une vinaigrette avec sel, poivre, vinaigre et huile (moitié olive, moitié neutre). Important ; émincer finement une échalote et ciseler un bouquet de persil.

Sur chaque assiette, déposer un lit de salade verte (mélange de fines pousses et roquette pour le petit côté poivré) assaisonnée avec la vinaigrette, ajouter une jolie part de merlu avec encore un trait de vinaigrette ; succès garanti 


 

Les couteaux pêchés à Santec en Bretagne lors des grandes marées peuvent être préparés en vinaigrette ou en sauce béchamel ICI.

Pour changer et c’est très apprécié, on peut les cuisiner style “à la provençale” en les relevant avec chorizo et une pointe de piment.

Laver les couteaux à l'eau courante et les plonger dans une grande quantité d'eau bouillante salée.
Compter  2 mn à partir de la reprise de l'ébullition puis égoutter de suite. Ensuite, retirer les coquilles et ne conserver que les parties blanches. Rincer à nouveau s'il y a du sable et bien sécher. A l'aide d'un ciseau, découper en très petits bouts.

- couteaux en morceaux      - huile d’olive      - 1 oignon finement émincé      - ail finement émincé      - 1 boîte de tomates en dés      - 1 verre de vin blanc sec      - 15 rondelles de chorizo      - sel fin et poivre du moulin      - piment en poudre      - persil frais ciselé

Dans une petite sauteuse, faire revenir l’oignon dans une bonne huile d’olive, le laisser ainsi doucement cuire jusqu’à ce qu’il soit translucide. Ajouter la boîte de tomates en dés, le vin blanc sec, l’ail, le chorizo. Saler modérément, poivrer et laisser cuire quelques minutes avant d’incorporer les couteaux. Selon les goûts, ajouter une pointe de piment en poudre.  Laisser mijoter le plus doucement possible pendant 15 mn. Saupoudrer de persil frais et accompagner d’un riz blanc.  

Simple mais bien bon, c’est Miaou Sauvage, forumeuse rencontrée sur le site de Supertoinette il y a quelques années qui avait proposé cette recette.

Servi avec un doigt de crème anglaise, recette ICI, vous ferez des heureux à peu de frais. Prendre des ingrédients à température ambiante et bien graisser le moule même s’il est en silicone. Ce gâteau se conservera trois jours sans défaillir.

- 2 oeufs  - 85 g d’huile neutre - 100 g de lait - 125 g de farine T45 - 50 g de cacao non sucré - 1 sachet levure chimique - 150 g de sucre roux

Il est possible de faire la pâte dans le Thermomix  (mixer 40 sec à vit 4.) mais un petit fouet à main fait très bien l’affaire, c’est si vite réalisé.

Casser les oeufs dans un saladier, ajouter le lait, l’huile, battre ce mélange puis ajouter le reste des ingrédients.

Enfourner pour  25 à 30 mn dans un four préchauffé à 180°C.

Pour une cuisson dans le four JT 369 Whirlpool : faire préchauffer le four à 180°C. Enfourner le gâteau et programmer 20 mn en fonction “chaleur pulsée combinée” 180° 90 W.

Surveiller et stopper la cuisson dès que la lame du couteau sort sèche. Trop de cuisson asséchera le biscuit qui doit être vraiment très moelleux.

Voici une recette Thermomix à la base mais je préfère de beaucoup terminer la cuisson dans une casserole car, même en fonction sens inverse, le saumon se défait alors que dans une casserole on retrouve bien les dés de poisson.

Pour deux personnes : - 300 g de saumon cru coupé en dés - 1 belle pomme - 1/2 petite pomme de terre - 1 belle échalote - 1 gousse d’ail - 1 càc de paprika doux en poudre - 50 g d’huile d’olive - 100 g de cidre - 100 g de fumet de poisson - sel fin et poivre du moulin

Dans le bol du Thermomix (ou tout autre robot), mixer l’oignon, l’ail, la pomme, la pomme de terre et le paprika pendant 10 sec à vit5.
Rabattre à l’aide de la spatule, ajouter l’huile, le cidre, le fumet de poisson, saler, poivrer et programmer 25 mn 100° vit 2.

Mixer ensuite l’ensemble pendant 30 sec à vit 9, on doit obtenir une sauce mi-épaisse. Si nécessaire, ajouter un peu de cidre ou de fumet pour obtenir la bonne consistance.

Verser cette sauce dans une casserole et faire remonter la température très doucement à la limite de l’ébullition puis ajouter les dés de saumon (sans peau et à température ambiante) et stopper la cuisson. Ils vont cuire de suite, éviter de les remuer pour les garder intacts.

Au moment de servir, faire remonter doucement la température, parsemer de persil finement ciselé si vous avez !

Lorsque j’avais fait une mouclade (recette ICI), j’avais congelé le reste du jus et il s’est ici avantageusement substitué au fumet de poisson. Très sympa servi en petites soupières ou cocottes individuelles. Un trait de crème fraîche apportera un petit plus !